President du MEDEF | Président du Groupe Martin Belaysoud Expansion
La jeunesse est la clef de notre prospérité : engageons-nous pour son avenir ! Il est aussi le nôtre ! Alors que les débats politiques s’éloignent des réalités économiques, menaçant le pays d’un appauvrissement généralisé, le Mouvement des Entreprises de France se concentre sur ce qui devrait être au cœur de toutes les préoccupations, de tous les programmes : créer collectivement plus de #richesse, plus de #prospérité pour le pays ! L’une des solutions à cette équation, c’est la #jeunesse. De sa #formation et son #épanouissement dans des #métiers d’avenir dépendent notre positionnement comme leaders des grandes transitions et l’accroissement indispensable du taux d’#emploi en France. Loin des clichés les jeunes ont soif de projets, de création – près 70% aspirent à créer leur entreprise ! –,d’#impact. J’en ai régulièrement la preuve, encore cette semaine au MEDEF où nous organisions avec de nombreux élèves un évènement dédié à l’apprentissage. Notre jeunesse est notre avenir, nous le disons dans notre manifeste publié à cette occasion : https://urlr.me/bRdhja Elle est notre avenir, mais comme le résumait Paul Valéry en 1932 devant les étudiants de l’Université de Zurich, « l’avenir n’est pas ce qui va arriver, mais ce que nous allons faire ». Ce que font les entreprises pour l’avenir des jeunes est majeur: la formation professionnelle – dont elles sont les 1eres financeuses –, leur investissement dans les compétences, les #stages qu’elles proposent, les emplois qu’elles créent. Oui, les entreprises sont de puissants moteurs de la #réussite des #jeunes. C’est pourquoi j’ai souhaité que le MEDEF soit totalement mobilisé à leurs côtés sur cet enjeu absolument prioritaire. Ceci vaut en particulier pour beaucoup plus attirer les jeunes femmes vers les formations puis les métiers scientifiques et techniques, où elles sont anormalement sous-représentées alors qu’ils leur offrent de formidables opportunités. En 2025, on ne peut accepter qu’un jeune français sur 5 soit au chômage, que d’ici 2030 nous manquions de plus de 120.000 jeunes actifs, que 57% des jeunes parmi les plus diplômés envisagent dans les 3 ans de quitter la France du fait essentiellement de la pression fiscale et des prélèvements sur les salaires (Baromètre Ipsos/Fédération Syntec) que des dizaines de milliers de jeunes soient chaque année guidés vers des formations sans débouchés et que dans le même temps la formation professionnelle soit encore dévalorisée ! Ces chiffres cachent autant de drames humains que de pertes économiques : les erreurs d’orientation coûtent à la France entre 3 et 4 mds€/an ! Je me suis engagé lors de la REF à ce que la France divise par 2 en 5 ans le nombre de jeunes au chômage. Et le 15 octobre prochain, à Marseille, en marge de la compétition nationale #WorldSkills à Marseille, j’annoncerai lors d’un appel des propositions très fortes pour y arriver ! C’est cela le MEDEF d’affirmation, force de propositions, et de solutions ! #BilletDuDimanche
C'est pour un amendement au texte cher Président Patrick Martin. Après le paragraphe sur la promotion des femmes dans les métiers scientifiques et techniques, évidemment #indispensable, est-il envisageable d'ajouter : " Ceci vaut aussi pour beaucoup plus attirer les jeunes hommes vers les formations puis les métiers du soin et du prendre soin, où ils sont anormalement sous-représentés alors qu’ils leur offrent de formidables opportunités et sont des métiers porteurs de sens" ou même tout remplacer par le fait suivant, constaté chez de nombreux adhérents du Medef et ailleurs : "dans les métiers en pénurie en général et dans ceux genrés du fait des représentations et/ou des traditions en particulier, le Medef et ses adhérents oeuvrent pour faire briller tous les métiers aux yeux de tous les jeunes dans leurs diversités" ??? #ChoisislaPetiteEnfance - Fédération Française des Entreprises de Crèches Merci d'avance Cher Président !
J’admire votre détermination Monsieur MARTINI. Je ne doute pas de la volonté d’une partie de notre jeunesse à construire son avenir par son propre engagement. Mais en priorité il faudrait que l’école enseigne l’économie à chaque élève - comme on apprend à lire et à écrire - afin que chacun d’entre nous comprenne que l’argent ne tombe pas du ciel et que pour pouvoir redistribuer de la richesse il faut d’abord en créer !!! Dans trop de milieux le mot « travail » est un « gros mot » alors qu’il est d’abord source d’épanouissement personnel lorsqu’il est choisi. Cette transformation prendra au minimum 2 décennies (1 génération) mais il y a urgence à changer de cap. Bon courage
En parfait accord avec votre exposé… …mais on constate que depuis 2009 année de création du statut d’auto-entrepreneur les statistiques des créations « d’entreprises » ont explosées avec évidemment la « baisse » ,soi-disante ,des demandeurs d’emplois. Tous des vrais créateurs d’entreprises ? La jeunesse angoissée par le présent et le futur ne croit plus dans certains diplômes d’un Bac + 5 sans issue et souhaiterait avoir la certitude d’un emploi par des formations ciblées
Patrick Martin vous voulez vraiment vous engager pour l’avenir de la jeunesse : exigez de vos grandes entreprises qu’elles embauchent des jeunes diplômés Bac +5 sans aide de l’Etat plutôt que de faire tourner des myriades de stagiaires et alternants payés avec un lance pierre et avec les aides de l’Etat.. Ayez cette audace et le MEDEF deviendra crédible…
Totalement d'accord et c'est pour ça que nous avons un devoir d'accompagnement et de formation de nos jeunes, malgré les conflits de génération. Moi-même je m'efforce d'assurer des formations dans des centres de formation par alternance
Je partage pleinement cette vision : notre jeunesse est bien la clé de notre avenir collectif. Pour qu’elle puisse s’épanouir et construire le monde de demain, nous devons l’accompagner concrètement, lui transmettre nos savoirs et lui faire confiance. C’est en travaillant main dans la main, dans une véritable dynamique intergénérationnelle au sein de nos entreprises, que nous ferons émerger une prospérité durable et partagée. Bravo au MEDEF pour cet engagement fort et inspirant !
Les jeunes d'aujourd'hui ne sont pas seulement l'avenir. Ils sont les leaders de demain. Il est fondamental pour cette génération, d'avoir les clés pour écrire la suite de l'Histoire de notre pays sur tous les plans (économique, politique, technologique, intellectuel...)
Super aperçu ! J'aime beaucoup cette mise en lumière sur la jeunesse, notre moteur de prospérité. C'est essentiel de valoriser leur soif d'entreprendre – 70% qui aspirent à créer, c'est un signal fort ! Prioriser leur formation, c'est investir dans notre futur, et ça, ça change tout pour le business de demain.
C'est super important de se rappeler que la jeunesse, c'est comme le moteur de notre pays, et qu'il faut en prendre soin pour avancer ! Ce post montre bien que les entreprises sont comme des jardiniers qui aident les jeunes pousses à grandir et à s'épanouir pour que tout le monde en profite. C'est une vision très juste.
Déléguée Générale Fédération Française de la Franchise
1 sem.Merci Patrick Martin pour cette prise de position courageuse. Ces chiffres sur la jeunesse révèlent un gâchis économique et humain inacceptable. Cette défiance française envers l'entrepreneuriat nous coûte cher. Pendant que nous débattons de taxer l'outil productif, nos voisins européens attirent nos jeunes talents avec des mesures incitatives. Il est temps de valoriser ces 70% de jeunes qui veulent créer leur entreprise plutôt que de les décourager par la complexité administrative et la pression fiscale.