Mouvement des Entreprises de France

COMMUNIQUE | Communiqué de presse commun Mouvement des Entreprises de France, CPME nationale, U2P sur l'Agirc-Arrco. Lire le communique : https://lnkd.in/edN-bvqj

🚨 MEDIA | Patrick Martin, président du Mouvement des Entreprises de France, sera l'invité d' #EntouteFranchise de la matinale TF1, lundi 20 octobre en direct à 7h35. #BonjourLaMatinaleTF1

Croire en la #jeunesse, c’est préparer l’avenir de la France. Cette semaine, à travers l’#AppelPourLaJeunesse, #CodeF et #WorldSkills, le Mouvement des Entreprises de France a voulu défendre une vision : celle d’une France qui croit en son avenir parce qu’elle croit en sa jeunesse. Donner à la jeunesse les moyens d’agir, de créer, d’entreprendre, c’est renforcer notre souveraineté économique, notre cohésion sociale et notre capacité à innover. ▶️ Avec l’#AppelpourlaJeunesse, nous avons formulé 13 propositions pour orienter, former, insérer et accompagner chaque jeune vers l’emploi et la réussite. 👉 https://lnkd.in/evgHiRMJ ▶️ Avec #CodeF, nous nous mobilisons pour féminiser les métiers scientifiques, techniques et technologiques. Parce que la France a besoin de toutes les énergies et de tous les talents pour innover, produire et réussir. 👉 Code-f.org ▶️ Enfin, la compétition #WorldSkills nous rappellent, avec éclat, la beauté du geste, la fierté du savoir-faire et la passion du métier. Ces jeunes champions montrent que l’excellence française se construit chaque jour. Le MEDEF continuera à agir, avec tous ses partenaires, pour que la jeunesse ait toute sa place dans l’économie de demain. WorldSkills France MEDEF Sud Stéphane BENHAMOU Upe 13 Philippe Korcia Dr HC Marie Christine OGHLY Florence Poivey Renaud MUSELIER

💬 « La France a besoin d’espoir » — Patrick Martin, président du Mouvement des Entreprises de France, dans La Provence. Présent au Forum des Entrepreneurs à Marseille, Patrick Martin a partagé une vision claire et lucide des défis économiques, sociaux et internationaux auxquels notre pays fait face.   Dans un contexte économique tendu et une conjoncture politique incertaine, il appelle à remettre la jeunesse et la compétitivité au cœur du projet collectif : « Nous ne nous focalisons pas suffisamment sur la jeunesse. [...] C’est un enjeu humain, social, mais aussi économique : notre pays a besoin d’espoir. »   Pour le président du Medef, il est urgent d’agir : - Pour mieux orienter et accompagner les jeunes, en lien avec les entreprises, dès le collège et le lycée ; - Pour rendre la France plus compétitive, en allégeant les charges qui freinent l’investissement et l’emploi ; - Pour affirmer notre souveraineté économique, alors que la concurrence mondiale s’intensifie.   « Les chefs d’entreprise sont inquiets, parfois démoralisés. Or, sans confiance, il n’y a ni investissement, ni emploi. » Dans ce moment charnière, Patrick Martin rappelle avec force que l’entreprise est un pilier d’espoir et de cohésion pour la France.   ➡️ Retrouvez l’intégralité de son interview dans La Provence : https://lnkd.in/ehusJaBH MEDEF Sud Carole COLOMBO-SEIPELT MEDEF Vaucluse Roland Paul Aurélie LECAUDEY UPV - Union Patronale du Var Stéphane BENHAMOU Marc-Antoine Moché UPE 05 Lucile BERNARD-REYMOND Emma Durand Upe 13 Philippe Korcia Violaine Richard UPE06 Franck Cannata Pascaline IVALDI-LANTERI UDE 04 Lydia Marmod yves altobelli

💬 « La suspension de la réforme des retraites m’inspire une forme de tristesse et d’inquiétude pour le pays », explique ce matin sur Radio Classique, Patrick Martin, président du Mouvement des Entreprises de France. Loin d'avoir réglé le problème, chaque jour un peu plus cruel, du ralentissement, du déclassement de la France et du délabrement de ses finances publiques, on va l’aggraver. On découvre à l'Assemblée nationale ce qu’est un actionnaire activiste, un ultra-minoritaire qui vous impose ses vues. Beaucoup de décideurs ne prennent pas en compte une réalité : la conjoncture n'est pas bonne, la compétition internationale devient d'une brutalité incroyable et la France fait et va faire encore plus exactement l'inverse de ce que le monde entier fait, c'est-à-dire soutenir les entreprises pour gagner en compétitivité. Nous allons réunir nos instances et puis on verra si on va à la conférence sociale. Si c'est pour nous refaire le coup du conclave, nous demander tout et son contraire et à la fin nous faire porter le chapeau, on sera très hésitant. Le MEDEF est la première organisation patronale française, on a une responsabilité singulière, donc ça milite plutôt dans le sens d'une participation à cette conférence. https://lnkd.in/eWQjgQvY

💬 "la suspension de la réforme des retraites à un moment donné se paiera en croissance, en dette ou en impôts", a insisté Patrick Martin, président du Mouvement des Entreprises de France, sur RTL ce matin, La suspension de la réforme des #retraites serait le prix de la stabilité politique ? Pour combien de temps ? Ce qui nous intéresse ce n’est pas l’horizon à 3 mois, c’est l’horizon à 30 ans, la suspension de la réforme des retraites à un moment donné elle se paiera en #croissance, en #dette ou en #impôts. On est le dos au mur en terme d’endettement public, avec un déficit public de 170 mds€ cette année et une dette publique qui a augmenté de 70mds€ au dernier trimestre, et on vient nous expliquer qu’il faut suspendre la réforme des retraites, qui n’a en réalité qu’un but faire augmenter le taux d’emploi, donc la production de richesse, donc le pouvoir d’achat. Les entreprises ont besoin qu’on arrête de les accabler et de dire n’importe quoi, notamment sur les « aides aux entreprises ». Tous les pays du monde, Chine, Etats-Unis au premier chef, mais c’est vrai de l’Italie, de l’Allemagne, de l’Espagne… soutiennent leurs entreprises, on est à contre-sens de ce que le monde entier fait.

Sondage📊 | Dans un contexte d’inquiétude généralisée les salariés gardent une bonne opinion des entreprises et se rangent aux côtes des chefs d’entreprise pour dénoncer le niveau d’imposition des entreprises. C’est ce que révèle l’enquête ODOXA : « La confiance des chefs d’entreprise dans l’avenir » : https://lnkd.in/enxSWsa8 💡 En bref : ▶️ 8 Français sur 10 ont une bonne opinion des entreprises ! ▶️ 81% des chefs d’entreprise et 80% des salariés estiment que l’entreprise paie assez ou trop d’impôts.  ▶️ Le contexte politique et la situation économique actuels inquiètent gravement les chefs d’entreprises, mais aussi leurs salariés. ▶️ Emplois, pouvoir d’achat, investissements… les conséquences d’une nouvelle hausse d’impôts pour les entreprises seraient désastreuses.

💬 Le vrai sujet c’est celui de la génération de richesses, affirme Patrick Martin, président du Mouvement des Entreprises de France, dans le Le Journal du Dimanche. Depuis des semaines, la France est bloquée, prisonnière d’une confusion politique qui freine les décisions d’investissement, d’embauche et mine la confiance. Nos entreprises n’ont pas besoin de débats escamotés ni de nouvelles taxes symboliques : elles ont besoin de stabilité, de visibilité et de moyens pour produire, innover et créer de l’emploi. 𝐋𝐞 𝐯𝐫𝐚𝐢 𝐬𝐮𝐣𝐞𝐭 𝐧’𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐜𝐞𝐥𝐮𝐢 𝐝’𝐮𝐧𝐞 𝐞́𝐪𝐮𝐢𝐭𝐞́ 𝐟𝐢𝐬𝐜𝐚𝐥𝐞, 𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐛𝐢𝐞𝐧 𝐜𝐞𝐥𝐮𝐢 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐠𝐞́𝐧𝐞́𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐫𝐢𝐜𝐡𝐞𝐬𝐬𝐞𝐬. Avant de débattre du partage de la valeur, il faut d’abord recréer les conditions de la croissance. 57 % du PIB en dépenses publiques, un déficit de 170 milliards d’euros, une dette à 3 345 milliards : ce sont ces chiffres qui devraient nous mobiliser. La France emprunte aujourd’hui plus cher que ses voisins, pendant que le Portugal et l’Italie redressent leurs comptes. 𝐍𝐨𝐮𝐬 𝐧’𝐚𝐯𝐨𝐧𝐬 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐥𝐞 𝐥𝐮𝐱𝐞 𝐝𝐞 𝐥’𝐢𝐧𝐚𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧. L’image de l’entreprise n’a jamais été aussi bonne, et nos concitoyens, par bon sens, font confiance aux entrepreneurs. Pourtant, un décalage persiste entre cette réalité et le débat politique. 𝐍𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐞𝐧𝐣𝐞𝐮, 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐝𝐞 𝐟𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥’𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞𝐩𝐫𝐢𝐬𝐞 𝐮𝐧𝐞 𝐠𝐫𝐚𝐧𝐝𝐞 𝐜𝐚𝐮𝐬𝐞 𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥𝐞. Une majorité de salariés s’opposent à l’augmentation des prélèvements obligatoires sur les entreprises, car ils ont bien compris qu’avant d’avoir de grands débats sur le partage de la valeur ou sur les retraites, il faut d’abord créer davantage de richesse et de prospérité.   Lire l'interview : https://lnkd.in/ekZyhrEj

La jeunesse est la clef de notre prospérité : engageons-nous pour son avenir ! Il est aussi le nôtre ! Alors que les débats politiques s’éloignent des réalités économiques, menaçant le pays d’un appauvrissement généralisé, le Mouvement des Entreprises de France se concentre sur ce qui devrait être au cœur de toutes les préoccupations, de tous les programmes : créer collectivement plus de #richesse, plus de #prospérité pour le pays ! L’une des solutions à cette équation, c’est la #jeunesse. De sa #formation et son #épanouissement dans des #métiers d’avenir dépendent notre positionnement comme leaders des grandes transitions et l’accroissement indispensable du taux d’#emploi en France. Loin des clichés les jeunes ont soif de projets, de création – près 70% aspirent à créer leur entreprise ! –,d’#impact. J’en ai régulièrement la preuve, encore cette semaine au MEDEF où nous organisions avec de nombreux élèves un évènement dédié à l’apprentissage. Notre jeunesse est notre avenir, nous le disons dans notre manifeste publié à cette occasion : https://urlr.me/bRdhja Elle est notre avenir, mais comme le résumait Paul Valéry en 1932 devant les étudiants de l’Université de Zurich, « l’avenir n’est pas ce qui va arriver, mais ce que nous allons faire ». Ce que font les entreprises pour l’avenir des jeunes est majeur: la formation professionnelle – dont elles sont les 1eres financeuses –, leur investissement dans les compétences, les #stages qu’elles proposent, les emplois qu’elles créent. Oui, les entreprises sont de puissants moteurs de la #réussite des #jeunes. C’est pourquoi j’ai souhaité que le MEDEF soit totalement mobilisé à leurs côtés sur cet enjeu absolument prioritaire. Ceci vaut en particulier pour beaucoup plus attirer les jeunes femmes vers les formations puis les métiers scientifiques et techniques, où elles sont anormalement sous-représentées alors qu’ils leur offrent de formidables opportunités. En 2025, on ne peut accepter qu’un jeune français sur 5 soit au chômage, que d’ici 2030 nous manquions de plus de 120.000 jeunes actifs, que 57% des jeunes parmi les plus diplômés envisagent dans les 3 ans de quitter la France du fait essentiellement de la pression fiscale et des prélèvements sur les salaires (Baromètre Ipsos/Fédération Syntec) que des dizaines de milliers de jeunes soient chaque année guidés vers des formations sans débouchés et que dans le même temps la formation professionnelle soit encore dévalorisée ! Ces chiffres cachent autant de drames humains que de pertes économiques : les erreurs d’orientation coûtent à la France entre 3 et 4 mds€/an ! Je me suis engagé lors de la REF à ce que la France divise par 2 en 5 ans le nombre de jeunes au chômage. Et le 15 octobre prochain, à Marseille, en marge de la compétition nationale #WorldSkills à Marseille, j’annoncerai lors d’un appel des propositions très fortes pour y arriver ! C’est cela le MEDEF d’affirmation, force de propositions, et de solutions ! #BilletDuDimanche