WOMEN FIRST

2 femmes leaders, 160 représentantes du Women First Club, un lieu exceptionnel : La Galerie Bourbon. Une soirée inoubliable à revivre ici ! ⬇️ Retour sur la 9ème soirée du 𝙒𝙤𝙢𝙚𝙣 𝙁𝙞𝙧𝙨𝙩 𝘾𝙡𝙪𝙗 en 2025 ! Revivons ce superbe événement en vidéo 🤩 ! Nous avons eu la chance de rencontrer et écouter 𝗱𝗲𝘂𝘅 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗹𝗲𝗮𝗱𝗲𝗿𝘀 𝗲𝘅𝗰𝗲𝗽𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 : 👉 Emmanuelle Malecaze Doublet, CEO de Galileo - administratrice Canal + / Decathlon 👉 Clara Gaymard, co-fondatrice de RAISE, administratrice LVMH et Bouygues 𝗡𝗼𝘂𝘃𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗮𝗰𝘁𝗶𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 Nos membres mènent désormais l'échange avec nos speakers. 𝐿’𝑖𝑑𝑒́𝑒 ? Leur donner la parole et leur permettre d'être actrices du Women First Club. Merci aux membres du Women First Club pour leur participation active, à notre partenaire MOMA Selection, ainsi qu’à toutes les équipes présentes sur place (photographe, l'équipe vidéo 100% féminine, xn--hte-kna.sse, agents de sécurité, maîtres d'hôtel, équipe Women First + Candidate First). 𝗣𝗿𝗼𝗰𝗵𝗮𝗶𝗻 𝗿𝗲𝗻𝗱𝗲𝘇-𝘃𝗼𝘂𝘀 Lundi 17 novembre avec : 👉 Christel Bories 👉 Sophie Lacoste 👉 Eva Berneke ━━━━━━━━━━━━━━━━ Qu'est-ce que le Women First Club ? Le Women First Club est notre réseau professionnel de femmes directrices et exécutives qui rassemble : 👉 300 dirigeantes, exécutives, managers, entrepreneures... 👉 Des femmes souhaitant networker, partager, progresser, s'inspirer ET prendre du temps pour elles ! Le Club compte 4 piliers : 🤝 Du réseau 🌐 Du contenu 📅 Des événements 👩 Du personal branding + d'informations sur le Women First Club en 1er commentaire ⬇️

Claudia Sheinbaum, première femme à diriger le Mexique, affiche une cote de popularité que bien des dirigeants lui envieraient : 79% d’opinions favorables ! ⬇️ 𝑁𝑒𝑤𝑠𝑙𝑒𝑡𝑡𝑒𝑟 Women First #171 𝐕𝐨𝐢𝐜𝐢 𝗹𝗲𝘀 4 𝘀𝘂𝗷𝗲𝘁𝘀 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 𝘀𝗲𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲 : 𝗟𝗮 𝗻𝗲𝘄𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝘀𝗲𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲 🥇 Popularité record pour la présidente du Mexique ! 🇲🇽 Un an après son élection, Claudia Sheinbaum, première femme à diriger le Mexique, affiche une cote de popularité que bien des dirigeants lui envieraient : 79% d’opinions favorables ! 👏 À 63 ans, l’ancienne maire de Mexico s’impose avec calme et fermeté à la tête de la 2ᵉ économie d’Amérique latine, malgré une conjoncture complexe marquée par les tensions commerciales avec les États-Unis et une sécurité intérieure toujours fragile. 𝘙𝘦𝘵𝘳𝘰𝘶𝘷𝘦𝘻 𝘭'𝘢𝘳𝘵𝘪𝘤𝘭𝘦 𝘦𝘹𝘩𝘢𝘶𝘴𝘵𝘪𝘧 𝘦𝘯 1𝘦𝘳 𝘤𝘰𝘮𝘮𝘦𝘯𝘵𝘢𝘪𝘳𝘦 ⬇️ 𝗟𝗲 𝗳𝗼𝗰𝘂𝘀 𝗱𝗲 𝗹'𝗲́𝗾𝘂𝗶𝗽𝗲 💛 Masterclass Women First Club : une soirée dédiée au Personal Branding ! 💫 Quelle Masterclass mémorable autour d’un thème essentiel pour toutes les femmes leaders : le Personal Branding. Une soirée concrète et bienveillant, fidèle à l’esprit du Women First Club, qui réunit aujourd’hui 300 femmes directrices et exécutives. 🚀 Nous avons eu la chance de proposer 4 ateliers : - Un portrait business réalisé par nos photographes partenaires - Et si notre tenue devenait notre meilleure alliée ? - Transformer les rencontres network en opportunités business - Faire le marketing de soi quand on n’aime pas se mettre en avant Marie Beauchesne, Sandra Le Grand et Lucile Paye ont partagé leurs meilleurs conseils. 𝘙𝘦𝘵𝘳𝘰𝘶𝘷𝘦𝘻 𝘭'𝘢𝘳𝘵𝘪𝘤𝘭𝘦 𝘦𝘹𝘩𝘢𝘶𝘴𝘵𝘪𝘧 𝘦𝘯 1𝘦𝘳 𝘤𝘰𝘮𝘮𝘦𝘯𝘵𝘢𝘪𝘳𝘦 ⬇️ 𝗟𝗲 𝘀𝘂𝗷𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝘀𝗲𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲 📩 Derrière chaque grand homme… il y a parfois une femme qui a tout misé sur son potentiel avant même qu’il ne le réalise lui-même. Des femmes ont révélé le génie (souvent discret) de leur mari Mise en lumière d'épouses visionnaires qui ont renoncé à leurs propres ambitions pour révéler le talent – et parfois sauver le couple – de maris doués mais hésitants. 𝘙𝘦𝘵𝘳𝘰𝘶𝘷𝘦𝘻 𝘭'𝘢𝘳𝘵𝘪𝘤𝘭𝘦 𝘦𝘹𝘩𝘢𝘶𝘴𝘵𝘪𝘧 𝘦𝘯 1𝘦𝘳 𝘤𝘰𝘮𝘮𝘦𝘯𝘵𝘢𝘪𝘳𝘦 ⬇️ 🏆 𝗣𝗼𝘀𝘁 𝗟𝗶𝗻𝗸𝗲𝗱𝗜𝗻 𝗼𝗳 𝘁𝗵𝗲 𝘄𝗲𝗲𝗸 "𝗪𝗼𝗺𝗲𝗻 𝗙𝗶𝗿𝘀𝘁" Il y a 13 ans, le 11 octobre 2012, la journée internationale du droit des filles a été instaurée par l'ONU. En 2025, nous célébrons cette journée sous le thème « La fille que je suis, le changement que je mène : les filles en première ligne de la crise ». 𝘙𝘦𝘵𝘳𝘰𝘶𝘷𝘦𝘻 𝘭'𝘢𝘳𝘵𝘪𝘤𝘭𝘦 𝘦𝘹𝘩𝘢𝘶𝘴𝘵𝘪𝘧 𝘦𝘯 1𝘦𝘳 𝘤𝘰𝘮𝘮𝘦𝘯𝘵𝘢𝘪𝘳𝘦 ⬇️ ━━━━━━━━━ Suivez Women First ━━━━━━━━ 👉 Consultez la version exhaustive de la Newsletter #171 via le lien en commentaire 👉 Inscrivez-vous à la Newsletter Women First via le lien en commentaire ! 💪🏼 - Un seul mail par semaine 📧 - Du bon contenu à lire en 5 minutes top chrono ⬇️

En ce 18 octobre, célébrons la journée mondiale de la ménopause ! ⬇️ Un sujet universel, mais encore trop souvent invisible dans le monde du travail. L’Organisation Mondiale de la Santé estime qu’en 2030, 1,2 milliard de femmes seront âgées de 50 ans ou plus. En France, 17 millions de femmes sont concernées par la ménopause. Et pourtant, le sujet reste largement tabou. 👉 La ménopause entraîne en moyenne une perte de revenu de 𝟭𝟬% 👉 𝗨𝗻𝗲 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲 𝘀𝘂𝗿 𝗾𝘂𝗮𝘁𝗿𝗲 admet avoir déjà caché ses symptômes au travail, par peur d’être discriminée 👉 𝟮𝟱% pensent que parler de la ménopause pourrait nuire à leur carrière 👉 𝟴𝟳% déclarent ressentir des gênes dans leur vie professionnelle : bouffées de chaleur, troubles du sommeil, douleurs articulaires, difficultés de concentration… Des réalités encore peu prises en compte par les entreprises. 𝗨𝗻 𝗲𝗻𝗷𝗲𝘂 𝗱𝗲 𝘀𝗮𝗻𝘁𝗲́ 𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗽𝗲𝗿𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝗻𝗰𝗲 “𝘓𝘢 𝘯𝘰𝘯-𝘤𝘰𝘯𝘴𝘪𝘥𝘦́𝘳𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦𝘴 𝘴𝘺𝘮𝘱𝘵𝘰̂𝘮𝘦𝘴 𝘥𝘦 𝘮𝘦́𝘯𝘰𝘱𝘢𝘶𝘴𝘦 𝘢 𝘥𝘦𝘴 𝘤𝘰𝘯𝘴𝘦́𝘲𝘶𝘦𝘯𝘤𝘦𝘴 𝘨𝘳𝘢𝘷𝘦𝘴, 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘧𝘰𝘪𝘴 𝘦𝘯 𝘵𝘦𝘳𝘮𝘦𝘴 𝘥𝘦 𝘴𝘢𝘯𝘵𝘦́ 𝘱𝘶𝘣𝘭𝘪𝘲𝘶𝘦, 𝘮𝘢𝘪𝘴 𝘢𝘶𝘴𝘴𝘪 𝘦́𝘤𝘰𝘯𝘰𝘮𝘪𝘲𝘶𝘦𝘴”, souligne Mathilde Neme, Directrice Générale d’OMENA. 👉 Ces symptômes conduisent 𝟭𝟬% 𝗱𝗲𝘀 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀 à quitter leur emploi Certaines entreprises commencent à briser le silence : ateliers de sensibilisation, groupes de parole, chartes de soutien, aménagements ponctuels… Mais le chemin reste long. Parler de ménopause au travail, c’est aussi parler de bien-être, d’équité et de maintien dans l’emploi des femmes expérimentées. 𝗖𝗼𝗺𝗽𝗿𝗲𝗻𝗱𝗿𝗲, 𝗶𝗻𝗳𝗼𝗿𝗺𝗲𝗿, 𝗮𝗰𝗰𝗼𝗺𝗽𝗮𝗴𝗻𝗲𝗿 La ménopause correspond à la fin du cycle reproductif féminin, généralement autour de la cinquantaine. Elle s’accompagne d’une chute d’œstrogènes et de progestérone, provoquant de multiples symptômes plus ou moins invalidants. Le traitement hormonal de la ménopause (THM) demeure le moyen le plus efficace pour atténuer ces troubles et prévenir l’ostéoporose. Mais son rapport bénéfice/risque fait encore débat. Les recherches menées par l’équipe du professeur Pierre-Yves Scarabin (Inserm) ont notamment montré que les œstrogènes transdermiques permettaient de réduire considérablement les risques d’accidents thromboemboliques liés aux œstrogènes oraux ; une avancée majeure en matière de sécurité. ━━━━━━━━ Rejoignez Women First ━━━━━━━━ La mission de Women First ? 💡 Transformer notre société par la place des femmes 💪 Envie d'agir ? 👥 Cliquez sur "Suivre" et rejoignez notre communauté engagée 🌍 Ne ratez rien ! 📢 Activez la cloche 🔔 pour recevoir toutes nos actualités Ce contenu peut intéresser quelqu’un ? 🙋♀ Identifiez-la/le en commentaire pour partager l'inspiration 💬

Caroline Graziana, première femme à prendre le commandement de la Base aérienne 278 d’Ambérieu ! ⬇️ Après 26 ans de service, le colonel Caroline Graziana devient la première femme à diriger la Base aérienne 278 d’Ambérieu-en-Bugey ainsi que son Atelier Industriel Aéronautique (AIA), un maillon essentiel du dispositif de maintien en condition opérationnelle des forces aériennes. La cérémonie de passation, tenue le 3 septembre dernier, a marqué un moment fort pour l’armée de l’Air et de l’Espace : un passage de flambeau chargé d’émotion entre le colonel Didier Solignac et sa successeure. Devant le major général Dominique Tardif et de nombreux élus, civils et militaires, l’atmosphère était à la fois solennelle et profondément humaine. 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗗𝗼𝗺𝗶𝗻𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗧𝗮𝗿𝗱𝗶𝗳 « 𝘛𝘶 𝘢𝘴 𝘭𝘦𝘴 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘦́𝘵𝘦𝘯𝘤𝘦𝘴 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘳𝘦́𝘶𝘴𝘴𝘪𝘳. » 𝗖𝗮𝗿𝗼𝗹𝗶𝗻𝗲 𝗚𝗿𝗮𝘇𝗶𝗮𝗻𝗮 « 𝘑𝘦 𝘴𝘶𝘪𝘴 𝘵𝘳𝘦̀𝘴 𝘩𝘰𝘯𝘰𝘳𝘦́𝘦 𝘦𝘵 𝘳𝘦𝘤𝘰𝘯𝘯𝘢𝘪𝘴𝘴𝘢𝘯𝘵𝘦 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘤𝘰𝘯𝘧𝘪𝘢𝘯𝘤𝘦 𝘲𝘶𝘪 𝘮’𝘦𝘴𝘵 𝘧𝘢𝘪𝘵𝘦. » 𝗨𝗻 𝗽𝗮𝗿𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗲𝘅𝗰𝗲𝗹𝗹𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗮𝘂 𝘀𝗲𝗿𝘃𝗶𝗰𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗮𝗿𝗺𝗲́𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗔𝗶𝗿 Originaire de Bretagne, Caroline Graziana n’était pas prédestinée à une carrière militaire. Passionnée de physique, c’est au détour d’un forum des métiers qu’un officier lui a fait découvrir l’armée de l’Air. Ce jour-là, une vocation est née. Entrée à l’École de formation des sous-officiers de Rochefort, elle débute comme technicienne avionique avant de gravir tous les échelons : commandante d’unité, responsable de la formation Rafale, puis chef de division. Diplômée de l’École de Guerre (promotion 27), elle a également été assistante militaire auprès du DRH de l’armée de l’Air. « 𝘓’𝘢𝘳𝘮𝘦́𝘦, 𝘤’𝘦𝘴𝘵 𝘶𝘯𝘦 𝘴𝘶𝘪𝘵𝘦 𝘥𝘦 𝘳𝘦𝘯𝘤𝘰𝘯𝘵𝘳𝘦𝘴 𝘲𝘶𝘪 𝘷𝘰𝘶𝘴 𝘧𝘰𝘯𝘵 𝘢𝘷𝘢𝘯𝘤𝘦𝘳 𝘦𝘵 𝘱𝘳𝘰𝘨𝘳𝘦𝘴𝘴𝘦𝘳, 𝘱𝘢𝘳𝘤𝘦 𝘲𝘶𝘦 𝘤’𝘦𝘴𝘵 𝘢𝘶𝘴𝘴𝘪 𝘶𝘯 𝘧𝘰𝘳𝘮𝘪𝘥𝘢𝘣𝘭𝘦 𝘢𝘴𝘤𝘦𝘯𝘴𝘦𝘶𝘳 𝘴𝘰𝘤𝘪𝘢𝘭 ». 𝗨𝗻𝗲 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲 𝗱𝗲 𝘁𝗲𝗿𝗿𝗮𝗶𝗻, 𝗮𝘂 𝗰œ𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗺𝗲́𝗰𝗮𝗻𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗮𝗲́𝗿𝗼𝗻𝗮𝘂𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 De Mirage 2000 à Rafale, la colonel Graziana a piloté des missions clés de maintenance aéronautique, alliant rigueur, excellence technique et sens du collectif. Son credo : rendre les avions disponibles pour qu’ils puissent remplir leur mission. Âgée de 50 ans, mariée et mère de deux enfants, elle revendique une approche pragmatique du commandement : exigeante, mais profondément humaine. « 𝘗𝘰𝘶𝘳 𝘤𝘰𝘮𝘮𝘢𝘯𝘥𝘦𝘳, 𝘪𝘭 𝘧𝘢𝘶𝘵 𝘢𝘪𝘮𝘦𝘳 𝘴𝘦𝘴 𝘩𝘰𝘮𝘮𝘦𝘴, 𝘦𝘵 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘭𝘦𝘴 𝘢𝘪𝘮𝘦𝘳, 𝘪𝘭 𝘧𝘢𝘶𝘵 𝘭𝘦𝘴 𝘤𝘰𝘯𝘯𝘢𝘪̂𝘵𝘳𝘦 », rappelait son prédécesseur, le colonel Solignac — une philosophie que Caroline Graziana partage pleinement. À la tête de près de 900 personnels civils et militaires, la colonel Graziana entend poursuivre le développement de la base tout en consolidant la dynamique initiée par ses prédécesseurs.

[𝐑𝐎𝐋𝐄 𝐌𝐎𝐃𝐄̀𝐋𝐄] en ce 16 octobre, rendons hommage à Marie-Antoinette d’Autriche, dernière reine de France de l’Ancien Régime, exécutée en 1793, sur la Place de la concorde à Paris. 🕊️ 𝗠𝗮𝗿𝗶𝗲-𝗔𝗻𝘁𝗼𝗶𝗻𝗲𝘁𝘁𝗲, 𝗹𝗮 𝗷𝗲𝘂𝗻𝗲 𝗱𝗮𝘂𝗽𝗵𝗶𝗻𝗲 𝗱𝗲𝘃𝗲𝗻𝘂𝗲 𝗿𝗲𝗶𝗻𝗲 Fille de François Ier de Lorraine, empereur du Saint-Empire romain germanique, et de Marie-Thérèse de Habsbourg, archiduchesse d’Autriche, Marie-Antoinette naît à Vienne le 2 novembre 1755. En mai 1770, âgée de seulement 14 ans, elle quitte son pays et sa famille pour épouser à Versailles le dauphin Louis-Auguste, futur Louis XVI. Son mariage, voulu par le duc de Choiseul, symbolise la réconciliation franco-autrichienne, mais suscite aussi des réticences : le peuple français garde en mémoire les guerres contre la maison d’Autriche. À 18 ans, Marie-Antoinette devient reine de France, aux côtés d’un époux sincèrement épris d’elle. Curieuse et vive, elle s’épanouit dans l’art, la musique, le théâtre et la mode. Elle protège les artistes qu’elle admire, comme Grétry, Gluck, Sacchini, ou encore la peintre Élisabeth Vigée Le Brun, à qui elle doit une partie de sa postérité visuelle. Mais la jeune souveraine, étrangère aux codes rigides de Versailles, se heurte à l’étiquette. En quête d’intimité, elle s’isole souvent au Petit Trianon, que Louis XVI lui offre en cadeau, et y fait aménager un hameau champêtre inspiré par l’esprit de Rousseau et le goût du naturel. Son frère, l’empereur Joseph II, la décrit comme « aimable et honnête ». Pourtant, ses maladresses et son goût pour le faste ternissent peu à peu son image auprès d’une opinion publique de plus en plus hostile. 𝗨𝗻𝗲 𝗿𝗲𝗶𝗻𝗲 𝗶𝗻𝗰𝗼𝗺𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲, 𝗷𝘂𝘀𝗾𝘂’𝗮̀ 𝗹𝗮 𝘁𝗿𝗮𝗴𝗲́𝗱𝗶𝗲 Sous l’influence de sa mère, Marie-Antoinette tente de peser sur la politique, mais ses interventions maladroites lui valent des inimitiés à la Cour. Les pamphlets et caricatures se multiplient, la surnommant avec mépris « l’Autrichienne ». L’affaire du Collier de la Reine en 1785 — dont elle est pourtant victime — finit de briser sa réputation. Lorsque éclate la Révolution française, la reine devient une cible. Après la prise de la Bastille et l’installation forcée de la famille royale aux Tuileries, elle tente en vain de fuir avec le roi lors de la fuite de Varennes (1791). Arrêtée, elle est enfermée au Temple, puis transférée à la Conciergerie après l’exécution de Louis XVI. Le 16 octobre 1793, à l’aube, Marie-Antoinette comparaît devant le Tribunal révolutionnaire. Les accusations sont sans fondement, mais la sentence est écrite d’avance. Condamnée à mort, elle est guillotinée le jour même, place de la Révolution. Elle affronte la mort avec une dignité qui force le respect, laissant derrière elle une image tragique, entre grandeur et incompréhension.

Margaret Thatcher est née il y a 100 ans cette semaine. ⬇️ Première femme à diriger le Royaume-Uni, elle a profondément marqué son époque, au-delà même de ses choix politiques. Ce qui inspire encore aujourd’hui, c’est l’effet silencieux qu’elle a eu sur toute une génération de femmes. Pour beaucoup de petites filles grandissant au Royaume-Uni, voir une femme gouverner un pays était devenu… normal. « 𝙀𝙡𝙡𝙚 𝙚́𝙩𝙖𝙞𝙩 𝙨𝙞𝙢𝙥𝙡𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙡𝙖 𝙋𝙧𝙚𝙢𝙞𝙚̀𝙧𝙚 𝙢𝙞𝙣𝙞𝙨𝙩𝙧𝙚. » Et cette normalité change tout. Quand on grandit en pensant que les femmes peuvent diriger un État, prendre des décisions, ou tenir tête à des dirigeants du monde entier, alors on grandit en pensant que tout est possible. Margaret Thatcher a incarné, souvent sans le vouloir, un modèle de puissance féminine multiple : 👉 Scientifique (elle a étudié la chimie) 👩🔬 👉 Mère de jumeaux 👩👧👦 👉 Cheffe de gouvernement 👩💼 Et femme de conviction, dans un monde encore dominé par les hommes. Qu’on l’admire ou qu’on la conteste, elle a ouvert un champ des possibles. Elle a montré qu’une femme pouvait penser, diriger et choisir sa voie, sans se laisser enfermer dans un rôle unique. Chez Women First, nous croyons profondément à la force de ces modèles. Parce qu’ils inspirent, consciemment ou non, toutes celles qui grandissent en se disant : 👉 « Oui, moi aussi, je peux. » ━━━━━━━━ Rejoignez Women First ━━━━━━━━ La mission de Women First ? 💡 Transformer notre société par la place des femmes 💪 Envie d'agir ? 👥 Cliquez sur "Suivre" et rejoignez notre communauté engagée 🌍 Ne ratez rien ! 📢 Activez la cloche 🔔 pour recevoir toutes nos actualités Ce contenu peut intéresser quelqu’un ? 🙋♀ Identifiez-la/le en commentaire pour partager l'inspiration

Margaret Thatcher est née il y a 100 ans cette semaine. ⬇️ Première femme à diriger le Royaume-Uni, elle a profondément marqué son époque, au-delà même de ses choix politiques. Ce qui inspire encore aujourd’hui, c’est l’effet silencieux qu’elle a eu sur toute une génération de femmes. Pour beaucoup de petites filles grandissant au Royaume-Uni, voir une femme gouverner un pays était devenu… normal. « 𝙀𝙡𝙡𝙚 𝙚́𝙩𝙖𝙞𝙩 𝙨𝙞𝙢𝙥𝙡𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙡𝙖 𝙋𝙧𝙚𝙢𝙞𝙚̀𝙧𝙚 𝙢𝙞𝙣𝙞𝙨𝙩𝙧𝙚. » Et cette normalité change tout. Quand on grandit en pensant que les femmes peuvent diriger un État, prendre des décisions, ou tenir tête à des dirigeants du monde entier, alors on grandit en pensant que tout est possible. Margaret Thatcher a incarné, souvent sans le vouloir, un modèle de puissance féminine multiple : 👉 Scientifique (elle a étudié la chimie) 👩🔬 👉 Mère de jumeaux 👩👧👦 👉 Cheffe de gouvernement 👩💼 Et femme de conviction, dans un monde encore dominé par les hommes. Qu’on l’admire ou qu’on la conteste, elle a ouvert un champ des possibles. Elle a montré qu’une femme pouvait penser, diriger et choisir sa voie, sans se laisser enfermer dans un rôle unique. Chez Women First, nous croyons profondément à la force de ces modèles. Parce qu’ils inspirent, consciemment ou non, toutes celles qui grandissent en se disant : 👉 « Oui, moi aussi, je peux. » ━━━━━━━━ Rejoignez Women First ━━━━━━━━ La mission de Women First ? 💡 Transformer notre société par la place des femmes 💪 Envie d'agir ? 👥 Cliquez sur "Suivre" et rejoignez notre communauté engagée 🌍 Ne ratez rien ! 📢 Activez la cloche 🔔 pour recevoir toutes nos actualités Ce contenu peut intéresser quelqu’un ? 🙋♀ Identifiez-la/le en commentaire pour partager l'inspiration

Christine Thibal, membre du Women First Club, fonde Chris 3.0 Management ! ⬇️ 𝗨𝗻 𝗽𝗮𝗿𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗮𝘂 𝘀𝗲𝗿𝘃𝗶𝗰𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝘁𝗿𝗮𝗻𝘀𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 Professionnelle reconnue, Christine Thibal incarne depuis plus de 30 ans l’alliance entre vision stratégique et maîtrise opérationnelle. Passée par la finance, les achats, la qualité et la performance, elle a bâti un parcours complet, guidé par une conviction : pour bien piloter une organisation, il faut connaître le terrain — dans toutes ses dimensions, stratégique, financière et opérationnelle. Elle a évolué dans des secteurs variés comme l’industrie, la restauration et l’événementiel, développant une compréhension fine des enjeux business et humains. Pendant 17 ans à l’Accor Arena, Christine a occupé des fonctions clés au cœur de la transformation du site : finance, contrôle de gestion, exploitation, achats, qualité et RSE. Elle y a créé la direction des achats, optimisé les processus internes et piloté la certification à la norme ISO 20121 avant les Jeux Olympiques, un projet fédérateur mené main dans la main avec les équipes. Visionnaire et proche du terrain, elle a fait de chaque mission une aventure humaine et stratégique, alliant sens, engagement et résultats, façonnant un modèle de performance durable où la rigueur s’allie à la dynamique collective. 𝗨𝗻 𝗹𝗲𝗮𝗱𝗲𝗿𝘀𝗵𝗶𝗽 𝗵𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻 𝗲𝘁 𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝘁 Engagée, rigoureuse et visionnaire, Christine Thibal incarne les principes du management 3.0 : un leadership fondé sur la collaboration, le sens et la responsabilisation. Son parcours illustre une capacité rare à naviguer entre fonctions support et terrain, avec une approche orientée résultats, innovation et impact durable. Elle prône un management qui conjugue exigence et bienveillance, vision et pragmatisme, stratégie et sens. Pour Christine, diriger, c’est avant tout donner envie, faire confiance et mobiliser les énergies autour d’un projet commun. Son expérience de terrain, alliée à une vision systémique des organisations, fait d’elle une partenaire précieuse pour toute entreprise en transformation. Et parce qu’elle croit au pouvoir du collectif, elle reste ouverte à rejoindre une équipe ou un projet : apporter son énergie, son expérience et sa capacité à fédérer pour faire grandir les organisations de l’intérieur. 𝗔̀ 𝗽𝗿𝗼𝗽𝗼𝘀 𝗱𝗲 𝗖𝗵𝗿𝗶𝘀 𝟯.𝟬 𝗠𝗮𝗻𝗮𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 En 2024, Christine crée Chris 3.0 Management, un cabinet de conseil dédié à la transformation stratégique, à la performance et au management humain. Sa mission : aider les organisations à se réinventer avec une vision transverse, à replacer l’humain au cœur des décisions, et à fédérer les équipes autour d’objectifs communs. Son accompagnement est à la fois concret et inspirant : stratégie, performance financière, qualité, expérience client, conduite du changement, engagement des collaborateurs… « 𝘛𝘳𝘢𝘯𝘴𝘧𝘰𝘳𝘮𝘦𝘳 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘴𝘦𝘯𝘴, 𝘥𝘪𝘳𝘪𝘨𝘦𝘳 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘪𝘮𝘱𝘢𝘤𝘵 »

[ 𝐑𝐎𝐋𝐄 𝐌𝐎𝐃𝐄𝐋𝐄 ] : en ce 15 octobre, rendons hommage à Mata Hari, décédée en 1917 à Vincennes, à l’âge de 41 ans. 🕊️ 𝗠𝗮𝘁𝗮 𝗛𝗮𝗿𝗶, 𝗹𝗮 𝗻𝗮𝗶𝘀𝘀𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗱’𝘂𝗻 𝗺𝘆𝘁𝗵𝗲 Mata Hari, de son vrai nom Margaretha Geertruida Zelle, est née le 7 août 1876 à Leeuwarden, aux Pays-Bas. Issue d’une famille aisée, elle connaît une enfance dorée avant que la faillite de l'entreprise de son père n’éclate, suivi de la séparation de ses parents et du décès de sa mère. Dès son jeune âge, Margaretha développe une capacité à user de son charme pour surmonter les difficultés. Elle est expulsée de l’école pour une liaison avec le directeur et, à l’âge de 18 ans, elle épouse Rudolf MacLeod, un capitaine de l’armée néerlandaise. Le couple part s’installer en Indonésie, où elle s’initie aux danses traditionnelles. Au-delà de leur important écart d'âge, son mari se révèle être endetté, violent et outrageusement infidèle. Qui plus est, il lui transmet la syphilis. Maladie qu'elle transmet à ses deux enfants : Louise-Jeanne et Normand-John. Son union avec MacLeod est définitivement brisée par le décès tragique de leur fils, à l'âge de deux ans. De plus, sa fille a été enlevée par son ex-mari. Ces événements marqua la métamorphose de Margaretha. Margaretha revient en Europe, se séparant de son mari, et s’installe à Paris en 1903. C’est dans la capitale française qu’elle se réinvente totalement, adoptant le nom de scène de Mata Hari, qui signifie « œil du jour » en malais. En 1905, elle fait ses débuts dans un spectacle de danse érotique au musée Guimet, captivant les élites parisiennes par son allure sensuelle et son exotisme inventé. Elle devient une figure de la Belle Époque, enchaînant les représentations à travers l’Europe. 𝗟’𝗲𝘀𝗽𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲 𝗼𝘂 𝗹𝗮 𝗹𝗲́𝗴𝗲𝗻𝗱𝗲 ? Lorsque éclate la Première Guerre mondiale, la carrière de Mata Hari décline. Contactée par des services de renseignement allemands, acceptant de devenir espionne sous le nom de code H21. En 1916, elle est également recrutée par les Français pour une mission de contre-espionnage. Cependant, son style de vie flamboyant, ses relations avec des officiers des deux camps, et sa capacité à naviguer entre les lignes de front suscitent la suspicion. En février 1917, elle est arrêtée en France pour espionnage au profit de l'Allemagne. Son procès, mené à huis clos, est expéditif et largement motivé par la recherche de boucs émissaires pour les échecs militaires de la France. Malgré l'absence de preuves solides, Mata Hari est condamnée à mort. Le 15 octobre 1917, elle est exécutée par un peloton d’exécution à Vincennes. De nombreux films et livres lui sont dédiés et son personnage apparaît dans d'autres histoires : 𝘍𝘪𝘭𝘮𝘴 👉 Mata Hari, George Fitzmaurice - 1931 👉 Mata Hari, agent H 21, Jean-Louis Richard - 1964 👉 Mata Hari, Curtis Harrington - 1985 𝘓𝘪𝘷𝘳𝘦𝘴 👉 Cycle des dieux, Bernard Werber - 2004 👉 L'espionne, Paul Coelho - 2016