Post de Hermès

Nos photographies familiales illustrent parfaitement bien le passage des décennies et des différents styles vestimentaires. Les photos offrent cette possibilité d'un retour en arrière et nos regards peuvent en être amusés. #estrieplus #chronique #BANQ

Ça commence demain ! Une expo qui dit tout sur Bourdelle-Rodin 💯 « Rodin / Bourdelle. Corps à corps » au Musée Bourdelle Cette exposition aux 160 œuvres permet de comprendre cette relation nouée entre les deux hommes. 👉 Relation Maître-élève : Antoine Bourdelle (1861-1929) travailla pendant 15 ans pour Auguste Rodin (1840-1917). Il sera chargé de tailler des marbres. Tout ne sera pas toujours simple. 👉Des petites frictions : Par exemple, quand Bourdelle doit tailler le marbre du Buste de Rose Beuret : il croit avoir une bonne idée, et entoure le visage d’un tissu semblable à un voile. Il envoie la photographie à Rodin. « Je veux la copie fidèle du masque - sans plus - c’est moi qui fais mes compositions. Je n’ai pas demandé qu’on compose ! » Rodin En 1908, Bourdelle peut enfin écrire : « J’ai en ce moment beaucoup de travaux. Je n’ai plus besoin de travailler pour Rodin. Je vends beaucoup. » 👉Deux passionnés : Rodin et Bourdelle sont de grand collectionneurs (une salle de l’exposition nous le confirme). Pour l’un comme pour l’autre, leur collection est le prolongement naturel de l’atelier et donne matière à créer. 👉Ou l'importance du socle : Partie passionnante de l’exposition, qui s’intéresse au socle ! Il n’est plus un accessoire mais fait partie de l’œuvre. Conclusion : Bourdelle voue une admiration sans borne pour Rodin, à qui il renouvellera de nombreux hommages. Il se dira pourtant « l’antidisciple de Rodin ».  Cette exposition montre la richesse de leur travail, et comment de leur dualité va naître la sculpture moderne. Informations pratiques « Rodin / Bourdelle. Corps à corps » Du 2 octobre au 2 février 2024 Musée Bourdelle 18 rue Antoine Bourdelle 75015 Paris 01 49 54 73 73 📸 M.D #go #top #expo #exposition #rodin #bourdelle #sculpture #art #musée #musee #moderne

📣 Découvrez l'Exposition Virtuelle "Cimarrón" 🌍 L'association Chercheurs d'Autres vous invite à explorer 14 galeries virtuelles sur le marronnage, par les frères guadeloupéens Édouard et Olivier Joureau, à l'occasion des Journées Européennes du Patrimoine 2024 ! 🎨 🗓️ Dates : Du 21 septembre jusqu'à fin septembre 2024 🌍 Lieux simultanés : Toulouse (quai de la Daurade) et en Guyane (Maripasoula, Papaïchton) 📲 Accès : Téléchargez l’application BavAR[t] pour découvrir ces œuvres géolocalisées de l'artiste EDDO, vivant actuellement à l'île de la Réunion Cette exposition en réalité augmentée propose des peintures contemplatives, invitant à réfléchir sur le marronnage comme un affranchissement de pensées limitantes et un retour à la nature. 🎙️ EDDO partage sa vision : "En disant que je suis marron, je qualifie mon état d'esprit, celui de quelqu'un qui rejette toutes les formes d’exploitations de l’homme par l’homme... Mes peintures sont une allégorie de mon état d’âme, j’y suggère la voie de fusion de mon esprit avec ma vraie nature et ainsi propose un chemin de liberté." 💡 Ne manquez pas cette occasion de redécouvrir un patrimoine souvent oublié et qui mérite d'être sur le devant de la scène. Lien vers le dossier de presse, le modèle d'exposition 3D et le teaser : https://lnkd.in/dmiJfmfD 🔗 #Cimarrón #ChercheursDAutres #Marronnage #ArtVirtuel #Patrimoine #Culture #JEP2024 Venez nombreux et partagez cette exposition au plus grand nombre ! 🌿

Bonjour tout le monde ! 😁 Voici en images quelques indices concernant les illustrations réalisées pour le Musée-Parc Arkéos ! Comme vous pouvez le constater il y a des objets de collections mais aussi des paysages avec des reconstitutions. Le Musée-Parc Arkéos, qui fête cette année ses 10 ans, possède en effet à la fois une riche collection divisée en 6 sections (du Paléolithique au Moyen Âge) et à la fois un parc de reconstitutions archéologiques avec notamment un grand portus et une motte castrale. Après de nombreux échanges et une visite en exclusivité sur le site, nous avons choisi 5 sujets à illustrer. Ces illustrations seront d’ailleurs déclinées en cartes postales que vous pourrez retrouvez dans leur boutique. Vous verrez ainsi dans les prochaines publications : l’entrée du portus, une vue de la motte castrale, un crâne d’ours des cavernes, un petit cavalier et un buste d’une divinité romaine. 5 illustrations au format A3 dont 2 traitant de sujets architecturaux qui sont mes premiers avec la technique du dotwork (une bonne occasion de sortir de ma zone de confort) ! J’espère que vous apprécierez ! 😁 PS : Si vous avez l’occasion de passer par Douai je vous invite à faire un tour à Arkéos ! Entre les collections permanentes, les expositions temporaires et les événements dans le parc vous en prendrez plein les yeux. Pour les gourmands il y a aussi une taverne médiévale qui vaut le détour ! #art #collaboration #partenariat #arkeos #douaisisagglo #douai #nord #nordpasdecalais #hautsdefrance #france #parcarchéologique #museedefrance #patrimoine #collections #tourisme ©️ John.C.Illustration // Tous droits réservés

🔴 Portrait, cadre et corde Qui se contenterait de jeter un regard oblique et désinvolte sur le portrait que vous avez sous les yeux pourrait reprendre à son compte le titre du livre du regretté Daniel Arasse : on n’y voit rien. De prime abord, évidemment, ce n’est pas tout à fait faux. Et pourtant. Et pourtant, ce portrait, il est vrai très endommagé, est remarquable à plus d’un titre. D’abord parce qu’il fut découvert par l’un des pères de l’égyptologie moderne, l’archéologue britannique William Matthew Flinders Petrie (1853-1942) qui l’exhuma des sables brûlant du Fayoum lors des fouilles du site de Hawara en 1888. Petite précision : le Fayoum est une région située au centre de l’Egypte où fut découvert un ensemble exceptionnel de portraits sur bois remarquablement bien conservés en raison de conditions géologiques et climatiques spécifiques. Pour être tout à fait exact, les portraits du Fayoum représentent le seul exemple à nous être parvenu de la peinture sur bois de l’Antiquité. Revenons cela dit au portrait qui nous occupe aujourd’hui. S’il est vrai que cette peinture à tempera est très abimée, on ne distingue en effet qu’une partie d’un visage ainsi qu’une seule épaule de la personne représentée, laquelle portait une tunique rose pâle et des boucles d’oreilles en perle, le cadre nous est parvenu dans un remarquable état de conservation. Pensez-donc : il conserve encore la corde – tressée en fibres de palmier – qui servait à le suspendre. Ajoutons enfin que cette pièce – qui date de la seconde moitié du Ier siècle apr. J.-C., mesure un peu plus de quarante-cinq cm de hauteur. Elle se trouve aujourd’hui au British Museum. Photo : British Museum.

Préserver le patrimoine photographique et cinématographique sensible Aujourd'hui à l'Atelier vert-de-gris📍 On identifie les différents types de supports souples d'une collection photographique et cinématographique 📷 Pour conserver sur le long terme les supports en nitrate, en acétate et en polyester. Le nitrate et l'acétate historiques sont des matériaux instables pouvant dégager des polluants (acide nitrique et acide acétique) qui peuvent accélérer la dégradation de films en bon état de conservation. Ce processus est irréversible et il est donc important d'agir pour la conservation de ce patrimoine sensible. On remarque souvent que le processus de dégradation est enclenché grâce aux odeurs de camphre du nitrate et de vinaigre de l'acétate 👃 #conservation #patrimoinephotographique #patrimoinecinématographique #conservationpréventive © Atelier vert-de-gris, Alexandra Lefebvre, conservation-restauration

Alain Gillet - L'EXPOSITION Présentation série : « LES GRANDES DAMES » : La région des Landes est une immense plaine située dans le sud-ouest de la France. Ce territoire abrite aujourd'hui la plus grande forêt d'Europe, constituée essentiellement de pins plantés au milieu du 19ème siècle sous l'impulsion de Napoléon III. Bien avant, les Landes étaient un immense pays marécageux, très plat, où la végétation était essentiellement constituée d'herbes et de broussailles. Dans ce paysage, vivaient essentiellement des bergers, et afin de se frayer plus aisément un chemin parmi la végétation, d'éviter de se mouiller les pieds dans les marais mais surtout pour pouvoir surveiller de loin leurs troupeaux de moutons, les bergers utilisèrent les échasses. La pratique des échasses d’un point de vue utilitaire par les bergers a disparu progressivement entre le milieu du 19ème et le début du 20ème siècle. Mais dans le même temps, les bergers ont commencé à utiliser les échasses pour des jeux et ils se sont aussi mêlés aux danses des autres villageois. Ainsi est apparu en 1889 le premier groupe de danseurs sur échasses. Cette tradition folklorique perdure encore aujourd’hui, et c’est l’origine des photos de la série « Les Grandes Dames ». J’ai souhaité développer cette idée de Grandes Dames élancées comme des échassiers, mais en prenant un soin particulier à l’esthétisme et au graphisme. Elles sont mises en situation dans des univers parfois réels, et parfois totalement abstraits. Curieusement, le dimorphisme de leur corps, donne à ces Grandes Dames une élégance étrange et rare. La disproportion de leurs jambes, leur confère une singularité, certes irréelle, mais attachante et émouvante. Ces tableaux se regardent sans prétention, juste avec un brin de naïveté, un soupçon d’humour, et peut-être un peu de poésie. Et surtout si un jour vous croisez une « Grande Dame », dites-lui qu’elle est belle ! https://urlz.fr/qCU1

Dans une installation comportant des photographies, des textes et des matières naturelles, Soleil Launière parle du territoire, le Nitassinan, comme un lieu de guérison symbolique, comme un espace que l’on habite, où l’on se connecte.https://https://lnkd.in/e6UabvKb

Nouveauté Editions Odyssée Découvrez en précommande le nouveau livre de Ewan Lebourdais : SUB l’immersion Ewan Lebourdais, peintre officiel de la Marine nous entraîne avec le livre SUB L’immersion dans une épopée visuelle rarement publiée. Le monde des sous-marins est un monde secret, qui éveille la curiosité, un monde que l’on imagine mais que l’on voit peu. Les sous-marins exercent une grande fascination et même une véritable ferveur pour ceux qui ont la chance de les apercevoir. Ce livre de photographies, élégant et mystérieux, permet de partager l’émotion ressentie par le photographe Ewan Lebourdais à chaque contact visuel avec ces bâtiments hors normes, mais également à la découverte de ses propres images qui immortalisent leurs brèves apparitions. Grand connaisseur de la mer – de son climat toujours changeant, de l’instabilité des bateaux propice à faire rater une image, de l’architecture de la côte – Ewan Lebourdais sait, grâce à cette expérience acquise, se positionner pour atteindre l’image parfaite qu’il s’était fixée mentalement. Sa démarche photographique se compose de plusieurs étapes : rentrer – au sens aussi bien physique que mental – dans le sujet ; écraser esthétiquement les profondeurs de champs à outrance pour permettre de voir ce que l’œil nu ne voit pas ; choisir le cadre dans lequel il immortalise son sujet, ce qui requiert une anticipation des placements. SUB L’immersion est une épopée visuelle, un hommage au génie humain, à sa capacité à réaliser d’incroyables prouesses techniques mais également à l’humilité des femmes et des hommes qui naviguent à bord des monstres d’acier qui sillonnent nos mers au service de la nation. Ce livre est aussi l’opportunité de montrer le savoir-faire français dans un domaine d’excellence que peu de pays maîtrisent. Ce projet n’aurai pas pu voir le jour sans une équipe de grande valeur : Direction editoriale : Camille Gallet et moi même Textes : Christophe Agnus Préfaces : Emmanuel Macron, Président de la République française Vice-amiral d’escadre Jacques FAYARD commandant les forces sous-marines et la force océanique stratégique Direction artistique : Clément le Tulle-Neyret Direction technique : Alain Escourbiac Photogravure : CHRISTOPHE BOËNNEC Impression : Escourbiac l'imprimeur Papiers Fedrigoni Group, Condat SA Lecta, Wibalin WINTER & COMPANY —————— Ministère des Armées NAVAL GROUP EURONAVAL Hahnemühle FineArt - Paper 'Made in Germany' since 1584 Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN) Nikon Marine Nationale Musée national de la Marine Musée de l'Armée - Hôtel national des Invalides Brest Métropole

Les fonds de négatifs photographiques peuvent sembler répétitifs et moins palpitants que les tirages du point de vue du travail de conservation-restauration... Moi je les adore car on y trouve souvent des éléments matériels assez variés, qui me parlent beaucoup et qui apportent des éléments de connaissance sur la production des images photographiques. C'est ce que j'appelle la dimension archéologique du patrimoine photographique. Par exemple, ici, dans la même pochette d'origine que le négatif sur verre, on trouve une feuille de papier cristal savamment découpée pour servir de masque de tirage. Le négatif comportant des zones de densité très différentes (voûtes sombres et ouvertures donnant sur les lumières du dehors), il est nécessaire de donner plus de lumière aux zones très denses au moment du tirage sur papier, sinon elles apparaîtront totalement blanches, ce qui ne sera pas harmonieux. Il peut donc être intéressant de conserver ce type d'élément ou au moins de documenter sa présence dans le fonds, pour évoquer la pratique de tirage, qui varie beaucoup d'un photographe à un autre. Au-delà des images qu'ils transportent, les objets photographiques recèlent ainsi bien d'autres informations !