« Quand la tempête se lève, certains construisent des murs, d’autres des moulins à vent. Ceux qui survivent sont ceux qui construisent des moulins. » Ce proverbe portugais, cité par Henri de Castries, Président de l'Institut Montaigne, a fortement résonné lundi soir, dans la nef du Collège des Bernardins, à l’occasion de notre dîner annuel dédié aux comités exécutifs des grandes entreprises. Devant 250 dirigeants, il a plaidé pour une Europe qui rééquilibre la défense du consommateur avec celle du producteur, réhabilite la prise de risque au-delà du principe de précaution, et privilégie l’investissement plutôt que la prolifération réglementaire. Je partage pleinement cet appel. Et je suis convaincu que pour retrouver notre compétitivité, nous devons concentrer nos efforts sur quelques pays moteurs, et des secteurs stratégiques : l’énergie, la technologie et la finance. Un grand merci à Henri de Castries de nous avoir fait l’honneur de sa présence.
Merci Henri de Castries et Olivier Scalabre pour ces discours particulièrement pertinents dans le contexte actuel. La tempête souffle sans aucun doute, et dans des directions changeantes et imprévisibles - l'incertitude rend encore pire la tempête, comme le savent les marins. Quand le vent souffle, on peut construire des moulins à vent, on peut aussi continuer à avancer, vite et bien, en adaptant la voilure.
💪🏼 Quand la tempête se lève, certains construisent des murs, d’autres des moulins à vent A retenir et a appliquer !
J'adore cette métaphore : « Quand la tempête se lève, certains construisent des murs, d’autres des moulins à vent. » La clé est bien de réhabiliter la prise de risque et de privilégier l'investissement (les moulins) plutôt que la prolifération réglementaire (les murs). Une approche stratégique indispensable pour la compétitivité européenne.
Un discours très inspirant et tourné vers l’action offensive en effet. Merci Henri d’avoir pu être des nôtres auprès de nos grands clients.