Agenda –  Préparez vous pour le  Social commerce Les startups les plus marquantes en 2010 Les opportunités pour les e-commerçants en 2011 Au-delà : la vision de « Merchant as a Platform »
Groupon :  offres très attractives + produits sociaux = viralité
Blippy :  publier automatiquement mes achats sur les réseaux sociaux
Etsy :  un eBay de l’artisanat où l’on devient ami avec ses vendeurs
Polyvore :  le collage de photos produits comme moyen d’expression
Agenda – Social commerce Les startups les plus marquantes en 2010 Les opportunités pour les e-commerçants en 2011 Au-delà : la vision de « Merchant as a Platform »
1.  Etre « présent » sur les réseaux sociaux Animer  une communauté  Equivalent « social » de la newsletter mail Réseau social = Source de trafic Vendre  directement sur les réseaux sociaux Boutique directement dans Facebook (F-commerce ?), ou à l’extérieur mais fortement interfacée ? La question de l’intégration du système de paiement est importante Entre les deux , de très nombreuses possibilités d’interaction avec ses clients : Promos spécifiques Source de trafic vers des liens profonds du catalogue etc.
2.  Transformer le produit en objet de discussion Produits «  sociaux  »  (on a envie d’en parler avec ses amis)  : biens culturels, vêtements, applis iPhone… Produits «  impulsifs  »  (on peut acheter sur un coup de tête, sans besoin «prémédité»)  : restaurant, saut en parachute, etc.  (plutôt des services) Produits  viraux  = sociaux + impulsifs  (billet de spectacle) MAIS  beaucoup plus de produits que l’on ne croit à première vue sont sociaux Fixed gear bikes ? Cannes à pêche ?  (achats passion) Capsules de café ?  (achats statut social) Mettre en valeur le  produit   (pas le marchand)  sur les réseaux Exemple : Bouton  Like  et  Open Graph Protocol
3.  Transformer la promotion en objet de discussion C’est le cœur des concepts de  Groupon  ou de  Vente-privée Les réseaux sociaux sont de très fortes sources de trafic (20-50%) Deal de LivingSocial sur Amazon : 1 millions de coupons vendus en 24h ! Succession de  pics  de trafic : Twitter, puis mail, puis Facebook Offres « à la Groupon » (-70%...) sur des  biens physiques  ? Apparition de mécanismes plus complexes  (par exemple, plus mes amis et amis d’amis achètent, moins c’est cher) : Facebook « Buy with Friends »  (avec les Credits dans un premier temps) Facebook Deals En France : Spreadbutton
Facebook Deals =  (Groupon + Foursquare) * 600M
4.  Transformer l’acte d’achat en objet de discussion C’est le cœur du concept de  Blippy Flashback : 2007 – Facebook  Beacon  ! Par définition, le consommateur qui vient d’acheter est celui qui a le plus fort pouvoir de recommandation  auprès de ses amis sur le produit en question Intégrer des mécanismes de partage social au sein même du  processus de checkout  ! Exemple de Voyages-SNCF Dans le mail de confirmation d’achat ?
5.  Créer son propre réseau social Ne pas seulement publier vers les réseaux sociaux externes, mais mettre en place des  fonctionnalités sociales  sur son  propre site  : Pages profil  des clients  (ceux qui le souhaitent)   Flux d’activités, commentaires, etc. Autour de vos produits !  (pas un réseau social généraliste) Utiliser une  identité numérique forte   (= assumée sur d’autres sites)  pour garantir une certaine qualité des contenus Exemple des avis consommateurs : Montrer tous les commentaires écrits par un utilisateur donné !
6.  Favoriser, par la techno, le partage social Rendre facile  la réutilisation des données , notamment sur les réseaux sociaux,  par les services tiers et par les utilisateurs/ consommateurs Web sémantique = ajouter des métadonnées de contexte aux produits En un an, Facebook a fait du Web sémantique une réalité à grande échelle Programmes d’affiliation : API, pas catalogues Cela amène aussi des bénéfices en  référencement naturel   (pas seulement en référencement « social »)
Agenda – Social commerce Les startups les plus marquantes en 2010 Les opportunités pour les e-commerçants en 2011 Au-delà : la vision de « Merchant as a Platform »
« Merchant as a Platform » Progressivement, les marchands ouvrent leur données   : Catalogue produits Chiffres de ventes Commentaires clients « API » de transactions (API de dropshipping, Marketplaces, etc.) L’étape suivante n’est-elle pas de laisser la possibilité au consommateur d’autoriser des  applications tierces  à accéder à ses données, comme sur Twitter et Facebook ? Historique de transactions ? Base de clients ?! Les marchands deviennent alors des plateformes, au centre  d’écosystèmes d’innovation Exemple : Netflix permet d’ajouter à son compte client des applications, par exemple de recommandations, développées par des tiers.  Des marchands US ont mis en place des API d’export vers Mint, pour fournir au client des visualisations de son historique d’achats. C’est le  VRM,  ou Vendor Relationship Management !
http://prodca.st  -  Site grand public http://prodcast.fr  -  Site B2B En deux mots,   ma startup:
Photo du Produit Notre objectif :  favoriser la discussion autour des produits Intégration avec Facebook et Twitter : au cœur même du service :
Photo du Produit
Photo du Produit
Photo du Produit
Notre offre B2B : les Social Store plugins Augmenter  et  mesurer  la viralité des produits grâce à l’intégration innovante des  réseaux sociaux  dans un  contexte e-commerce. Deux plugins complémentaires : Des  boutons de partage social , comparables aux boutons Facebook et Twitter, mais  spécifiques e-commerce . Un  flux d’activités  sur le produit. Exemple d’intégration :
Merci ! http://twitter.com/julien_c chaumond @ gmail.com http://www.slideshare.net/julien_c

Social commerce - Emailvision

  • 1.
  • 2.
    Agenda – Préparez vous pour le Social commerce Les startups les plus marquantes en 2010 Les opportunités pour les e-commerçants en 2011 Au-delà : la vision de « Merchant as a Platform »
  • 3.
    Groupon : offres très attractives + produits sociaux = viralité
  • 4.
    Blippy : publier automatiquement mes achats sur les réseaux sociaux
  • 5.
    Etsy : un eBay de l’artisanat où l’on devient ami avec ses vendeurs
  • 6.
    Polyvore : le collage de photos produits comme moyen d’expression
  • 7.
    Agenda – Socialcommerce Les startups les plus marquantes en 2010 Les opportunités pour les e-commerçants en 2011 Au-delà : la vision de « Merchant as a Platform »
  • 8.
    1. Etre« présent » sur les réseaux sociaux Animer une communauté Equivalent « social » de la newsletter mail Réseau social = Source de trafic Vendre directement sur les réseaux sociaux Boutique directement dans Facebook (F-commerce ?), ou à l’extérieur mais fortement interfacée ? La question de l’intégration du système de paiement est importante Entre les deux , de très nombreuses possibilités d’interaction avec ses clients : Promos spécifiques Source de trafic vers des liens profonds du catalogue etc.
  • 9.
    2. Transformerle produit en objet de discussion Produits « sociaux » (on a envie d’en parler avec ses amis) : biens culturels, vêtements, applis iPhone… Produits « impulsifs » (on peut acheter sur un coup de tête, sans besoin «prémédité») : restaurant, saut en parachute, etc. (plutôt des services) Produits viraux = sociaux + impulsifs (billet de spectacle) MAIS beaucoup plus de produits que l’on ne croit à première vue sont sociaux Fixed gear bikes ? Cannes à pêche ? (achats passion) Capsules de café ? (achats statut social) Mettre en valeur le produit (pas le marchand) sur les réseaux Exemple : Bouton Like et Open Graph Protocol
  • 10.
    3. Transformerla promotion en objet de discussion C’est le cœur des concepts de Groupon ou de Vente-privée Les réseaux sociaux sont de très fortes sources de trafic (20-50%) Deal de LivingSocial sur Amazon : 1 millions de coupons vendus en 24h ! Succession de pics de trafic : Twitter, puis mail, puis Facebook Offres « à la Groupon » (-70%...) sur des biens physiques ? Apparition de mécanismes plus complexes (par exemple, plus mes amis et amis d’amis achètent, moins c’est cher) : Facebook « Buy with Friends » (avec les Credits dans un premier temps) Facebook Deals En France : Spreadbutton
  • 11.
    Facebook Deals = (Groupon + Foursquare) * 600M
  • 12.
    4. Transformerl’acte d’achat en objet de discussion C’est le cœur du concept de Blippy Flashback : 2007 – Facebook Beacon ! Par définition, le consommateur qui vient d’acheter est celui qui a le plus fort pouvoir de recommandation auprès de ses amis sur le produit en question Intégrer des mécanismes de partage social au sein même du processus de checkout ! Exemple de Voyages-SNCF Dans le mail de confirmation d’achat ?
  • 13.
    5. Créerson propre réseau social Ne pas seulement publier vers les réseaux sociaux externes, mais mettre en place des fonctionnalités sociales sur son propre site : Pages profil des clients (ceux qui le souhaitent) Flux d’activités, commentaires, etc. Autour de vos produits ! (pas un réseau social généraliste) Utiliser une identité numérique forte (= assumée sur d’autres sites) pour garantir une certaine qualité des contenus Exemple des avis consommateurs : Montrer tous les commentaires écrits par un utilisateur donné !
  • 14.
    6. Favoriser,par la techno, le partage social Rendre facile la réutilisation des données , notamment sur les réseaux sociaux, par les services tiers et par les utilisateurs/ consommateurs Web sémantique = ajouter des métadonnées de contexte aux produits En un an, Facebook a fait du Web sémantique une réalité à grande échelle Programmes d’affiliation : API, pas catalogues Cela amène aussi des bénéfices en référencement naturel (pas seulement en référencement « social »)
  • 15.
    Agenda – Socialcommerce Les startups les plus marquantes en 2010 Les opportunités pour les e-commerçants en 2011 Au-delà : la vision de « Merchant as a Platform »
  • 16.
    « Merchant asa Platform » Progressivement, les marchands ouvrent leur données : Catalogue produits Chiffres de ventes Commentaires clients « API » de transactions (API de dropshipping, Marketplaces, etc.) L’étape suivante n’est-elle pas de laisser la possibilité au consommateur d’autoriser des applications tierces à accéder à ses données, comme sur Twitter et Facebook ? Historique de transactions ? Base de clients ?! Les marchands deviennent alors des plateformes, au centre d’écosystèmes d’innovation Exemple : Netflix permet d’ajouter à son compte client des applications, par exemple de recommandations, développées par des tiers. Des marchands US ont mis en place des API d’export vers Mint, pour fournir au client des visualisations de son historique d’achats. C’est le VRM, ou Vendor Relationship Management !
  • 17.
    http://prodca.st - Site grand public http://prodcast.fr - Site B2B En deux mots, ma startup:
  • 18.
    Photo du ProduitNotre objectif : favoriser la discussion autour des produits Intégration avec Facebook et Twitter : au cœur même du service :
  • 19.
  • 20.
  • 21.
  • 22.
    Notre offre B2B: les Social Store plugins Augmenter et mesurer la viralité des produits grâce à l’intégration innovante des réseaux sociaux dans un contexte e-commerce. Deux plugins complémentaires : Des boutons de partage social , comparables aux boutons Facebook et Twitter, mais spécifiques e-commerce . Un flux d’activités sur le produit. Exemple d’intégration :
  • 23.
    Merci ! http://twitter.com/julien_cchaumond @ gmail.com http://www.slideshare.net/julien_c