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L'��cole Joliot Curie a ��t�� cr����e en 1961, elle n'a pas subi de r��novation depuis cette ��poque, donc on se trouvait avec un b��timent tr��s d��grad�� et des conditions d'accueil qui devenaient difficiles. La d��gradation du b��timent, elle ��tait �� la fois sur le b��ti et on ��tait sur une passoire thermique acoustique. L'accessibilit�� ��tait pas respect��e pour les personnes �� mobilit�� r��duite. La demande du ma��tre d'ouvrage, elle ��tait tr��s claire, hein��? C'��tait augmenter la performance thermique du b��timent pour r��duire les consommations. Mais on en profite pour am��liorer le confort confort fonctionnel, c'est-��-dire travailler sur l'organisation des espaces et enfin de redonner au b��timent une ��criture plus contemporaine et de repenser son insertion dans le quartier. Pour atteindre ces objectifs, il fallait ��videmment rentrer dans un cadre budg��taire qui ��tait d��fini et dans un cadre calendaire qui ��tait d��fini et qui nous impose justement de repenser la mani��re d'intervenir sur un b��timent comme ��a. Ce projet, il a ��t�� initi�� �� la base avec une demande client forte sur la d��marche ��nergie sprong qui vise �� avoir 2 facteurs auxquels on doit r��pondre, qui est d'une part la neutralit�� ��nerg��tique et d'autre part la pr��-industrialisation. Pour anticiper justement la forte demande de de r��novation dans les b��timents scolaires, Bouygues a d��velopp�� une offre bisprong avec finalement tout un ensemble de briques m��thodologiques qui vont permettre de proposer une solution cl�� en main, du diagnostic jusqu'�� la construction. La plus grosse difficult�� de la r��novation ��nerg��tique d'un b��timent scolaire, c'est la continuit�� de service. On peut pas fermer une ��cole, un coll��ge ou un lyc��e du jour au lendemain, donc on intervient en site occup�� pour r��aliser ces travaux de r��novation ��nerg��tique. Donc l��-dessus, on a eu un planning assez serr�� pour commencer par le d��savantage complet du b��timent, la d��construction, pour ensuite venir commencer le trou de gros ��uvre. On a quand m��me r��ussi dans un planning une cadence assez serr��e �� mettre en place 47 modules en l'espace d'un mois et demi qu'on a mis en place des fa��ades pr��fabriqu��s pr��fabriqu��s avec des mur ossature bois remplis de pailles. Mais on s'est pas arr��t�� justement. �� cette pr��fabrication, jusqu'on a int��gr�� ��galement des menuiseries, des menuiseries r��centes et parietodynamiques qui nous permettaient de g��rer la ventilation. On a mis en place ��galement une production photovolta��que pour produire de l'��lectricit��. L�� o�� on a eu un peu plus de de masques, c'est un peu serr��. C'est au niveau des secondes ��uvres parce que du coup, une fois qu'on avait ferm�� le b��timent, il y a eu une mont��e en charge de des ��quipes sous-traitantes qui nous a permis du coup de faire les int��rieurs sur l'ensemble de l'op��ration. Je trouve que c'est une r��ussite, d'une part parce qu'on a tenu nos engagements clients, on a permis de livrer 10 jours avant notre date contractuelle, ce qui a permis l'am��nagement de l'ensemble de l'��cole. Sans stress. Et cette anticipation-l�� du planning et les ��changes avec le client ont permis une belle r��ussite de projet. Effectivement, l'int��r��t d'un d'un groupement de conception r��alisation, c'est d'avoir tous les acteurs autour de la table et en cela avec les ��quipes de Bouygues, on peut dire que sur cette op��ration comme sur les autres, on a eu vraiment cette compl��mentarit�� et cette confiance mutuelle qui ont qui ont permis de de faire ��merger une solution qu'on estime la plus pertinente possible. Bouygues a bien compris notre volont�� de la d��marche ��nergie sprong. Ils ont r��pondu totalement �� nos objectifs. Ils nous ont rassur��s sur la technique, le calendrier, les moyens utilis��s.