Hommage au professeur Dominique Bernard. En ce 13 octobre, nous rendons hommage à Dominique Bernard, professeur de lettres, assassiné dans l’exercice de son métier il y a deux ans, pour les valeurs qu’il incarnait : le savoir, la transmission et la liberté d’enseigner. Nous n’oublions pas son engagement, ni celui de toutes celles et ceux qui, chaque jour, font vivre l’École.
Oui, mais y associer tous les autres personnels assassinés sur leur lieu de travail...Agnès Lassalle, Mélanie G, et peut-être d'autres que j'oublie. Pas de hiérarchie dans les collègues décédés en service commandé...
Strictement rien n'a été fait depuis son décès !
Hommage pour les morts, pourquoi ? Pourquoi ne pas les défendre pour rester en vie ?
A quand un hommage aux enseignants morts à cause du manque de soutien de l'éducation nationale ? Christine Renon, Caroline...
Deux ans après, cinq ans après, une minute de silence précipitée remplacera, une fois encore, la réflexion de fond. Un nouvel effet d’annonce, alors que les témoignages d’inaction se multiplient. Il doit y avoir un après-Bétharram, un après-Conflans. Se vêtir de noir ne suffit plus. Tenir un stylo rouge ne suffit plus. Car si la vérité blesse, le harcèlement et l’inaction tuent. HELPEN Education nationale appelle la communauté éducative à agir collectivement contre le silence institutionnel. Signez la pétition de Helpen sur change.org. Soutenez notre action reconnue d’intérêt général.
les professeurs comme lui portent les valeurs essentielles : savoir, transmission, liberté. Son engagement reste un exemple pour tous.
Ne rien faire mais commémorer
Luttons contre toutes les formes d'obscurantisme.
Assassiné par qui ? Plutôt flou comme hommage
Enseignant Certifié Lettres Modernes
1 sem.La semaine dernière, un élève dans l’un des établissements que je fréquente a été renvoyé pour introduction d’arme (lame de cutter fixée à un bâton). Notamment grâce à l’insistance de la principale qui est ultra investie dans sa mission de protection du personnel : tous ne sont malheureusement pas comme ça… La liste des agents tués s’allonge, les minutes de silence se multiplient, mais rien n’est fait pour réellement changer les choses. Notre métier a été abandonné par les pouvoirs publics.