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High-Mobility Wireless Channels

Chapter points • Wireless channel models for high mobility environments: multipath and Doppler shifts. • Three domains to represent the channels: frequency-time, delay-time, and delay-Doppler. • Statistical channel models

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High-Mobility Wireless Channels

Chapter points • Wireless channel models for high mobility environments: multipath and Doppler shifts. • Three domains to represent the channels: frequency-time, delay-time, and delay-Doppler. • Statistical channel models

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CHAPITRE

2
Canaux sans fil à haute mobilité

CONTOUR

2.1 Modèle d'entrée­sortie du canal sans fil 14


2.1.1 Modèle géométrique 14
2.1.2 Représentation retard­Doppler 17

2.2 Modèle de canal en bande de base en temps continu 20

2.3 Modèle de canal en bande de base à temps discret 22

2.4 Relation entre les différentes représentations de canaux 23

2.5 Modèles de canal pour les simulations numériques 26


2.5.1 Scénarios standard de propagation par trajets multiples mobiles 26
sans fil 2.5.2 Scénario de propagation 27

synthétique 2.6 Notes bibliographiques 27

Les références 27

Points de chapitre

• Modèles de canaux sans fil pour les environnements à forte mobilité : multivoies et
Décalages Doppler.
• Trois domaines pour représenter les canaux : fréquence­temps, temps de retard,
et retard­Doppler.
• Modèles de canaux statistiques.

Savoir ce que vous savez et ce que vous ne savez pas, c'est la vraie connaissance.
Confucius

Tout signal transmis subit des variations au fur et à mesure de sa propagation.


le canal sans fil. Plusieurs facteurs, notamment les propriétés de propagation du canal,

Communications retard­Doppler
https://doi.org/10.1016/B978­0­32­385028­5.00010­4 13 Copyright © 2022 Elsevier Inc. Tous droits réservés.
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14 2. Canaux sans fil à haute mobilité

Les propriétés et les obstacles sur un chemin de propagation peuvent provoquer des fluctuations dans
la force du signal reçu, communément appelées évanouissements. La décoloration peut être largement
classés en évanouissements à grande échelle et évanouissements à petite échelle.
L'évanouissement à grande échelle implique des variations du signal reçu moyen
force due à la propagation du signal sur de longues distances (sur plusieurs centaines de mètres) et
à une perte de trajet en ligne de vue complète ou partielle (LoS) due à
ombre causée par la présence de gros obstacles dans la propagation
chemin.
En revanche, les évanouissements à petite échelle font référence à des fluctuations rapides qui
se produisent sur une courte période (de l’ordre de la seconde) ou sur de courtes distances (de l’ordre
du mètre). Ces fluctuations sont dues à des raisons constructives
et superposition destructrice des échos du signal transmis qui arrivent
à travers différents chemins de propagation, un phénomène connu sous le nom de trajets multiples
propagation.
Ce chapitre se concentrera sur les évanouissements à petite échelle, puisque la couche physique
la conception d'un système de communication est basée sur la lutte contre les réseaux à petite échelle.
évanouissement d'un canal sans fil. Comme nous sommes préoccupés par le retard­Doppler
communications, il est essentiel d’avoir une compréhension approfondie du
représentation du domaine retard­Doppler d'un canal avant de plonger dans le
des aspects plus pratiques de la conception des émetteurs­récepteurs dans les chapitres suivants. Le
domaine retard­Doppler présente une grande ressemblance avec les paramètres géométriques
physiques de l'environnement tels que la distance et la vitesse relative des objets.
les réflecteurs. Dans l'hypothèse pratique qu'il y a un nombre limité de réflecteurs à proximité du
récepteur, le domaine retard­Doppler
offre une représentation plus compacte du canal géométrique, par rapport aux domaines traditionnels
temps de retard ou fréquence­temps.

2.1 Modèle d'entrée­sortie du canal sans fil

Considérons la transmission d'un signal sur un canal sans fil. Au


émetteur, un signal en bande de base s(t) de bande passante B est converti en
une bande passante [fc − B/2,fc + B/2], où fc est la fréquence porteuse utilisée
pour la transmission. Au niveau du récepteur, le signal reçu est down­converti
au signal équivalent en bande de base, noté r(t). Étant donné que la plupart des traitements du
récepteur, tels que la démodulation, le décodage et la détection, se produisent
en bande de base, nous nous concentrerons uniquement sur la représentation équivalente en bande de base
de canaux sans fil. Dans le but final d'arriver au retard­Doppler
représentation du canal, on part du modèle géométrique d'un canal sans fil.

2.1.1 Modèle géométrique

Les modèles géométriques sont basés sur la technique du lancer de rayons, qui est une
outil simple et utile pour comprendre comment les ondes transmises interfèrent
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2.1 Modèle d'entrée­sortie du canal sans fil 15

avec le canal physique. Afin de dériver un modèle déterministe du canal sans fil, nous
partons de la technique du lancer de rayons et utilisons la connaissance de la
géométrie physique de l'environnement de propagation. En raison de la propagation
par trajets multiples, le signal reçu r(t) est une agrégation de copies retardées,
décalées Doppler et atténuées du signal transmis s(t). Le retard est fonction de la
longueur de chaque trajet de propagation, tandis que le décalage Doppler se produit
en raison du mouvement relatif dans la scène de l'émetteur, du récepteur et des
réflecteurs.

FIGURE 2.1 Chemins avec différents délais de propagation.

Considérons d'abord un canal sans fil simple illustré à la figure 2.1, où l'émetteur
(station de base), le récepteur (mobile) et le réflecteur (bâtiment) sont statiques.
Puisqu’il n’y a pas de mouvement relatif dans la scène, le signal transmis ne subit
aucun décalage Doppler. Cependant, la différence dans le délai de propagation des
trajets direct et réfléchi fait que deux copies de s(t) arrivent au récepteur mobile à des
moments différents. Le chemin direct de la station de base vers le mobile subit un
retard de propagation dû à la distance r1. D’un autre côté, le chemin réfléchi par le
bâtiment doit parcourir une distance combinée de r2 + r3. Supposons que les trajets
directs et réfléchis ont un gain complexe (atténuation) équivalent en bande de base
de g1 et g2, respectivement. En utilisant le principe de superposition, le signal reçu
r(t) peut être exprimé comme

r(t) = g1s(t − τ1) + g2s(t − τ2), (2.1)

où τ1 = r1/c est le retard du trajet LoS, τ2 = (r2 + r3)/c est le retard du trajet réfléchi et
c = 3 · 108 m/s est la vitesse de la lumière. La différence entre les délais de propagation
τ2 − τ1 est connue sous le nom d’étalement des retards.
Dans le cas d'un canal comportant plus de deux trajets, l'étalement des délais est
défini comme la différence entre les délais de propagation des trajets les plus longs et
les plus courts, c'est­à­dire τmax − τmin.
Considérons maintenant le cas de la figure 2.2, où le récepteur mobile se trouve
dans une voiture qui se déplace vers la station de base avec une vitesse relative υ. Nous
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16 2. Canaux sans fil à haute mobilité

FIGURE 2.2 Trajets avec différents décalages Doppler en raison des différents angles d'arrivée.

supposons que la bande passante B de s(t) est très petite par rapport à la porteuse
fréquence fc, c'est­à­dire fc B. Le décalage Doppler dû à une vitesse relative υ
υ
est donné par fc.
c Le signal reçu peut alors être exprimé comme la somme de
copies retardées et décalées Doppler du signal transmis comme

r(t) = g1ej2πν1(t−τ1) s(t − τ1) + g2ej2πν2(t−τ2) s(t − τ2), (2.2)


g(τ1,t) g(τ2,t)

υ cos θ
où ν1 = fc est leυdécalage Doppler du trajet LoS, ν2 = fc est le
c c
Décalage Doppler du trajet réfléchi, |ν2 − ν1| est la propagation Doppler, et le
fonctions dépendant du temps

g(τi,t) = giej2πνi(t−τi) , je = 1, 2, (2.3)

représentent l'atténuation variable dans le temps des trajets de propagation encourus


par retard et décalages Doppler. L'étalement du retard (τmax) et l'étalement Doppler
Les valeurs (νmax) pour certains canaux sans fil typiques sont répertoriées dans le tableau 2.1.
En général, le canal à évanouissements par trajets multiples dans (2.3) peut alors être modélisé
en tant que système LTI de la forme


r(t) = g(τ,t)s(t − τ)dτ, (2.4)
0

où g(τ,t) est la réponse impulsionnelle à temps de retard du canal et 0 ≤


τ < ∞ représente le délai de propagation.
La réponse impulsionnelle temps­fréquence du canal à un instant fixe t
peut être obtenu en prenant une transformée de Fourier le long de la dimension de retard
de g(τ,t),

H(f,t) = g(τ,t)e−j2πf τ dτ. (2.5)


τ
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2.1 Modèle d'entrée­sortie du canal sans fil 17

TABLEAU 2.1 Écart de retard (τmax) et écart Doppler (νmax)


pour certains canaux sans fil typiques.

max Intérieur (3 m) Extérieur (3 km)


τmax 10 secondes 10 µs

υmax FC = 2 GHz FC = 60 GHz


υ = 1,5 m/s = 5,5 km/h νmax = 10 Hz νmax = 300 Hz
υ = 3 m/s = 11 km/h νmax = 20 Hz νmax = 600 Hz
υ = 30 m/s = 110 km/h νmax = 200 Hz νmax = 6 kHz
υ = 150 m/s = 550 km/h νmax = 1 kHz νmax = 30 kHz

Pour le cas général, où le canal possède P chemins, chacun avec le gain gi,
le retard τi, et le décalage Doppler νi, i = 1,...,P, en substituant g(τi,t) dans
(2.2) dans l’équation ci­dessus donne la réponse en fréquence comme

P.

H(f,t) = gie−j2πνi τi e−j2π(f τi−νit). (2.6)


je = 1

En pratique, H(f,t) est supposé être une fonction de t qui varie lentement dans le temps.
Pour le cas particulier d'un canal statique, c'est­à­dire νi = 0, i, H(f,t) se réduit à
réponse en fréquence indépendante du temps H(f).

2.1.2 Représentation retard­Doppler


Nous avons montré comment les différentes composantes retardées et décalées Doppler
conduisent au signal reçu r(t) et définissons un modèle pour le signal sans fil.
réponse du canal. Cependant, l’effet du décalage Doppler n’est pas immédiat.
évident dans la réponse en temps de retard g(τ,t) que nous avons obtenue dans le
dernière partie. L'effet d'un diffuseur peut être représenté en utilisant le retard
(dû à la distance) et le décalage Doppler (dû au mouvement relatif) subis par
le signal transmis s(t) qui rebondit dessus. Cela permet à un canal sans fil linéaire variant dans
le temps d'être complètement caractérisé par les paramètres retard­Doppler des diffuseurs à
proximité du récepteur. Depuis
la réponse retard­Doppler ressemble plus à la réponse physique sans fil
canal, il est utile d'avoir une représentation retard­Doppler du canal.
En général, les effets d'évanouissement à petite échelle d'un canal sans fil peuvent être
représenté à l'aide d'un petit nombre de diffuseurs à proximité du récepteur. Cela signifie que
le canal sans fil a une représentation clairsemée dans
le domaine retard­Doppler. Afin d'illustrer cela explicitement, considérons un canal sans fil avec
P chemins de propagation avec un retard et un délai distincts.
Paramètres de décalage Doppler.
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18 2. Canaux sans fil à haute mobilité

La relation entrée­sortie à deux chemins donnée dans (2.2) peut être généralisée pour
un nombre P de chemins de propagation comme

P.

r(t) = giej2πνi(t−τi) s(t − τi), (2.7)


je = 1

où gi est le gain de trajet et τi et νi sont le retard et le décalage Doppler,


respectivement, associé au i­ème chemin, i = 1,...,P.
Nous définissons la réponse retard­Doppler comme

P.

h(τ,ν) = gie−j2πνi τi δ(τ − τi)δ(ν − νi), (2.8)


je = 1

qui est une représentation clairsemée du canal sans fil dans le domaine retard­Doppler en
raison du nombre limité de trajets P. Ensuite, le signal reçu
le signal r(t) peut s’écrire

r(t) = h(τ,ν)ej2πνts(t − τ)dνdτ. (2.9)

D'après (2.8), nous voyons que le canal dans le domaine retard­Doppler est complètement
représenté par les paramètres (gi,τi,νi) pour i = 1,...,P. Noter que
le terme e−j2πνi τi est un déphasage constant qui peut être absorbé dans le
coefficient de canal gi avec un léger abus de notation. Sans perte de généralité, dans ce qui
suit nous supposerons simplement :

P.

h(τ,ν) = giδ(τ − τi)δ(ν − νi). (2.10)


je = 1

Figues. 2.3(a) et 2.3(b) montrent une simple représentation retard­Doppler de


le canal entre la station de base (Tx) et un véhicule (Rx) sur une autoroute. Ces deux images
ont été prises à 100 ms d’intervalle. Notez que le
La durée du signal transmis est en général inférieure à 10 ms, ce qui est beaucoup
plus court que le temps de cohérence géométrique, c'est­à­dire la durée pendant laquelle
la géométrie physique du canal peut être considérée comme invariante. Ce
permet au canal d'avoir une réponse à peu près invariante dans le temps à une impulsion
dans le domaine retard­Doppler tant que l'impulsion est transmise
dans le temps de cohérence géométrique. La connaissance du temps de cohérence
géométrique est cruciale pour concevoir les paramètres de transmission tels que
durée du signal en fonction des paramètres spécifiques du canal tels que le délai
propagation et propagation Doppler.
À titre d’exemple de scénario de mobilité élevée, considérons les Fig. 2.3(a) et
2.3(b), où une station de base transmet à un récepteur se déplaçant à près de
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2.1 Modèle d'entrée­sortie du canal sans fil 19

FIGURE 2.3 Un exemple de scénarios de canaux sans fil à haute mobilité montrant comment le
La réponse du canal retard­Doppler change lorsque la géométrie de la scène change.

100 km/h en voiture. En raison de la présence de diffuseurs, Rx reçoit une agrégation


d’échos de retard P et de décalage Doppler du signal transmis.
Les diffuseurs considérés dans cet exemple sont étiquetés O1, O2 et O3.
La grille retard­Doppler de la figure montre ce que l'utilisateur mobile reçoit
si un point en retard et en position Doppler [0, 0] est transmis. Chaque couleur
Le point dans la grille retard­Doppler correspond au chemin de propagation désigné par
le même rayon coloré. L'aire du point dans le retard­Doppler
la grille indique le gain de chaque chemin de propagation. Supposons que chaque entier
La valeur le long de l'axe du retard et du Doppler correspond à un réflecteur à une
distance de 10 m et à une vitesse de 50 km/h par rapport à Rx. Par exemple, le bleu
(noir en version imprimée) le point correspond à un réflecteur roulant à 50 km/h
(correspondant au nombre entier Doppler tap 1) par rapport au récepteur Rx.
Le plus grand point de la figure 2.3(a) correspond au chemin LoS entre le
la station de base et le véhicule récepteur Rx, représentés par le bleu (noir en impression
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20 2. Canaux sans fil à haute mobilité

version) rayon coloré. On lui attribue un retard de 0, étant le signal qui arrive
premier, et a un décalage Doppler positif, lorsque la voiture se déplace vers le
station de base. Le cercle jaune (gris clair en version imprimée) correspond à
le chemin qui est réfléchi par un autre véhicule (O1) circulant le long du même
direction comme Rx sur l'autoroute, mais avec une vitesse inférieure à celle de Rx par
rapport à la station de base. Le plus petit cercle correspond au chemin le plus long
en raison de la réflexion de (O2) indiquée par le violet (gris foncé en impression
version) point et rayons. Le décalage Doppler a une valeur négative car le véhicule
s'éloigne de la station de base et sa vitesse relative par rapport
à Rx est nul à cet instant du fait des angles relatifs entre les véhicules.
La réflexion du véhicule O3 est ignorée en raison de l'atténuation importante du trajet.
l'onde transmise doit parcourir une distance beaucoup plus longue que dans le cas
d'O2.
Voyons maintenant comment le canal, et donc la représentation retard­Doppler, reste
à peu près invariant sur de courts intervalles de temps. Comme montré
sur la figure 2.3 (b), en l'espace de 100 ms, le véhicule O2 s'est éloigné
de Rx et O3 s’est rapproché de Rx. Cela provoque l'arrêt de l'onde réfléchie
O3 (comme indiqué par le point rouge (gris moyen dans la version imprimée)) pour être plus fort
que celui de O2. Le décalage Doppler dû à O3 est inférieur à celui dû à
O2 comme O3 se déplacent à près de la moitié de la vitesse de O2.
La principale conclusion à tirer de cet exemple est qu'en concevant judicieusement
la durée de la trame, la représentation retard­Doppler d'un signal typique
le canal sans fil peut être rendu à peu près invariant dans le temps pendant toute la durée
d'une trame de signal.

2.2 Modèle de canal en bande de base en temps continu

Dans les sections précédentes, nous avons examiné les représentations générales de
un canal sans fil. Pour un récepteur qui fonctionne avec un délai limité et
Résolution Doppler, il est impossible d'observer les véritables paramètres du canal. Le
canal observé est fonction du canal réel ainsi que
le délai et la résolution Doppler du récepteur. On commence donc par
une représentation en bande de base en temps continu du canal du point de vue du
récepteur. Ensuite, nous verrons comment l'échantillonnage du récepteur
donne un canal en bande de base équivalent en temps discret. Au chapitre 4, nous
analysera en détail le canal discret retard­Doppler lorsqu'un signal numérique
le récepteur est utilisé.

Soit le signal transmis s(t) de largeur de bande Mf [Hz] et de durée


NT [s]. Considérons un modèle de canal équivalent en bande de base avec P chemins
de propagation. Pour le i­ième chemin, i = 1,...,P, le gain du chemin complexe est gi, et
le retard réel et le décalage Doppler sont respectivement τi et νi , donnés par

je maximum κi
τi = ≤ τmax = νi = avec |νi| ≤ νmax, (2.11)
Mf Mf NT
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2.2 Modèle de canal en bande de base en temps continu 21

où i,κi R sont respectivement le retard normalisé et le décalage Doppler normalisé,


et R est le retard normalisé associé à τmax.
maximum

Nous supposons que le canal est sous­étalé, c'est­à­dire τmaxνmax 1 et T f =


1. Sous l’hypothèse de sous­étalement, nous avons < M et les décalages Doppler maximum

normalisés −N/2 < κi < N/2. Rappelant le précédent


sections, puisque le nombre de coefficients de canal P dans le retard­Doppler
domaine est généralement limité, la réponse du canal retard­Doppler a un
représentation clairsemée :

P.

h(τ,ν) = giδ(τ − τi)δ(ν − νi). (2.12)


je = 1

On laisse L = {i} de taille |L| être l’ensemble des retards normalisés distincts parmi
les P chemins dans le domaine retard­Doppler, on laisse K = {κi | = je} sois le
ensemble de décalages Doppler normalisés pour chaque trajet avec un retard normalisé i, et
nous laissons

gi, si = 0, et κ = κi,
ν(κ) = (2.13)
je

sinon

être la réponse Doppler au retard. Alors on peut réécrire (2.12) comme

h(τ,ν) = ν(κ)δ(τ − T/M)δ(ν − κf /N). (2.14)


Lκ K

Notez que la réponse du canal à temps de retard continu est donnée par

g(τ,t) = h(τ,ν)ej2πν(t−τ) dν. (2.15)


ν

La substitution de (2.14) dans (2.15) donne le canal de temps de retard correspondant


réponse, pour tout L, comme

F
g(τ,t) = ν(κ)ej2πκ N (t−T/M)δ(τ − T/M). (2.16)
Lκ K

Évaluer (2.16) à τ = T/M pour tout L donne

F
g(τ = T/M,t) = ν(κ)ej2πκ N (t­T/M). (2.17)
κ K

Dans le cas particulier d'un canal statique sans étalement Doppler, c'est­à­dire κ = 0,
(2.16) se réduit à

g(τ = T/M,t) = ν(0). (2.18)


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22 2. Canaux sans fil à haute mobilité

2.3 Modèle de canal en bande de base à temps discret

Dans la section précédente, nous avons examiné le modèle de canal en temps


continu. Lors de la modélisation d'un système de communication passe­bande, il est
pratique de travailler avec une représentation équivalente en bande de base discrète de
le système. Au niveau de l'émetteur, un signal de largeur de bande B = Mf est converti
en une fréquence porteuse fc pour occuper un canal passe­bande, en supposant que
fc B. Au niveau du récepteur, le signal altéré du canal est converti en baisse.
en bande de base et échantillonné à fs = B = Mf Hz, donnant un complexe NM
échantillons par trame de durée NT [s].
En échantillonnant la forme d'onde reçue r(t) à t = qT/M, où q =
0,...,NM − 1, et variable de retard de discrétisation τ = lT/M pour l = 0,...,M −
1, nous avons la réponse discrète du canal à temps de retard en bande de base dans (2.16) comme

gs [l,q] = g(lT/M,qT/M) = ν(κ)zκ(q−l) (2.19)


L κ K sinc(l − ),

j2π
où sinc(x) = sin(πx)/(πx) et z = e Nouveau­Mexique

. Ainsi le temps de retard discret


La relation entrée­sortie est donnée par

M−1
r[q] = r(qT/M) = gs [l,q]s[q − l]. (2.20)
l=0

Notez qu'en raison des retards fractionnaires, l'échantillonnage au niveau du


récepteur introduit des interférences entre les réponses Doppler à différents retards. C'est
en raison de la reconstruction sinc de la réponse du temps de retard à un retard fractionnaire
points ( L). Cependant, dans les systèmes à large bande typiques, le chemin du canal
les retards peuvent être approximés à des multiples entiers de T/M, sans perte de
précision, c’est­à­dire = l Z, et la fonction sinc dans (2.19) se réduit à

1, si = l,
sin(l − ) = (2.21)
0, sinon.

Par conséquent, la relation entre la réponse Doppler réelle et la


canal du domaine temporel échantillonné à chaque prise de retard entier l L dans (2.19)
se réduit à

κ Kl
νl(κ)zκ(q−l) pour = l L,
gs [l,q] = (2.22)
0 sinon.

Nous rappelons ici au lecteur que le canal efficace tel que le perçoit le
Le récepteur dépend de la réponse réelle du canal ainsi que du fonctionnement
paramètres (résolution du retard) du récepteur. De plus, nous notons lmax =
max(L) est la prise de retard maximale du canal.
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2.4 Relation entre les différentes représentations de canaux 23

FIGURE 2.4 Les modèles TDL pour les canaux statiques et à haute mobilité avec des prises de retard entières
L = {0, 1, 2}.

La figure 2.4 montre le canal à retard pour les canaux statiques et mobiles,
respectivement, représenté en utilisant un modèle de ligne à retard à prise (TDL) pour le
ensemble de prises de retard entières L = {0, 1, 2}. Pour le cas statique de la Fig. 2.4(a), le
la prise de canal correspondant à chaque prise de retard l reste constante puisque de
(2.18) νl(κ) = 0 pour κ = 0. Cependant, pour le cas du canal variable dans le temps dans
Fig. 2.4 (b), chaque coefficient de prise de retard est la somme de trajets Doppler distincts
au sein d'une même prise de retard, chacun étant affecté par une rotation de phase variable dans le temps.

2.4 Relation entre les différentes représentations de canaux

D'après les sections précédentes, lorsque s(t) est le signal du domaine temporel transmis,
le signal reçu r(t) en présence d'un canal à trajets multiples variable dans le temps (également
connu sous le nom de canal doublement dispersif) peut s'écrire sous la forme

r(t) = g(τ,t)s(t − τ)dτ (2.23)


τ
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24 2. Canaux sans fil à haute mobilité

FIGURE 2.5 Représentation continue du canal retard­Doppler par rapport au canal temps­fréquence d'un
canal multitrajet à haute mobilité (variation temporelle linéaire).

= H(f,t)S(f )ej2πf tdf (2.24)


F

= h(τ,ν)s(t − τ)ej2πνtdτdν, (2.25)


ντ

où S(f ) est la transformée de Fourier de s(t).


Les trois relations équivalentes dans (2.23) – (2.25) peuvent être interprétées comme
suit. Le canal g(τ,t) dans (2.23) représente l'impulsion variable dans le temps
la réponse et la relation peuvent être considérées comme une simple généralisation
du système LTI. La relation dans (2.24) décrit le canal temps­fréquence et un système
basé sur OFDM est défini par cette relation. Finalement, le
La relation dans (2.25) décrit le canal retard­Doppler et un système OTFS est basé sur
cette relation.
Maintenant, la relation entre le temps­fréquence (H(f,t)) et le retard–
Les réponses du canal Doppler (h(τ,ν)) peuvent être données par une paire de
transformées de Fourier symplectiques (SFT) bidimensionnelles comme

h(τ,ν) = SFT{H(f,t)} = H(f,t)e−j2π(νt−f τ)dtdf, (2.26)

H(f,t) = ISFT{h(τ,ν)} = h(τ,ν)ej2π(νt−f τ)dτdν, (2.27)

où (2.26) et (2.27) définissent respectivement les opérations SFT et ISFT.


Figues. 2.5 et 2.6 illustrent la rareté de la réponse du canal retard­Doppler en
comparaison avec la réponse du canal temps­fréquence du canal linéaire.
canaux variables dans le temps et invariants dans le temps. Les coefficients non nuls dans le
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2.4 Relation entre les différentes représentations de canaux 25

FIGURE 2.6 Représentation continue du canal retard­Doppler par rapport au canal temps­fréquence de
un canal multitrajet statique (linéaire invariant dans le temps).

FIGURE 2.7 Différentes représentations de domaine d'une réponse im­impulsionnelle de canal multitrajet
variable dans le temps g(τ,t), également appelée réponse de canal à temps de retard.

Le plan retard­Doppler à l'emplacement (τ, ν) représente l'ampleur du gain de


propagation d'un trajet avec le retard et le décalage Doppler correspondants.
Le nombre de chemins dans ce cas est fixé à P = 4. On peut observer que
le canal fréquence­temps correspondant sur la Fig. 2.5 varie dans le temps et
nécessite donc plus de coefficients temps­fréquence pour représenter avec précision
la chaîne. Cependant, pour un canal statique, le canal fréquence­temps est
invariant dans le temps avec P chemins comme le montre la Fig. 2.6. Comme le
montre la représentation retard­Doppler, tous les trajets ont un décalage Doppler νi = 0, où
je = 1,...,P. La Fig. 2.6 représente un canal sélectif en fréquence, alors que
La figure 2.5 est à la fois sélective en termes de temps et de fréquence, ou en d'autres termes, doublement
sélectif.
En résumé, la figure 2.7 illustre les relations entre les quatre canaux multitrajets
variables dans le temps équivalents définis dans la littérature, où F
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26 2. Canaux sans fil à haute mobilité

désigne l'opération de Fourier et B(f,ν) désigne la réponse en fréquence variable Doppler.

2.5 Modèles de canaux pour simulations numériques

Nous adoptons le modèle de ligne à retard exploité du canal sans fil illustré
sur la figure 2.4 (b) pour nos simulations. Le gain du canal gi est modélisé comme une variable aléatoire
complexe gaussienne à symétrie circulaire1 indépendante sur
tous les chemins pour i = 1,...P, dont l'enveloppe est distribuée par Rayleigh avec une variance σ2
je . En général, les caractéristiques du canal peuvent être spécifiées à l'aide du
profil de retard de puissance et propagation Doppler maximale de l'environnement de propagation.

2.5.1 Scénarios standards de propagation par trajets multiples mobiles sans fil
Ici, nous répertorions quelques profils de canaux à évanouissement par trajets multiples 3GPP standard,
qui sera utilisé pour générer des modèles de canaux pour les simulations ultérieures
chapitres. Les modèles de décoloration répertoriés ici représentent des niveaux faibles, moyens et élevés.
retarder les environnements de propagation. Les profils de retard de puissance sont donnés dans les
tableaux 2.2, 2.3, 2.4.

TABLEAU 2.2 Modèle pour piétons étendus A (EPA).

Retard de prise excessif (ns) 0 30 70 90 110 190 410

Puissance relative (dB) 0,0 −1,0 −2,0 −3,0 −8,0 −17,2 −20,8

TABLEAU 2.3 Modèle de véhicule étendu A (EVA).

Retard de prise excessif 0 30 150 310 370 710 1090 1730 2510
(ns)
Puissance relative 0,0 −1,5 −1,4 −3,6 −0,6 −9,1 −7,0 −12,0 −16,9
(dB)

TABLEAU 2.4 Modèle urbain typique étendu (ETU).

Retard de prise excessif (ns) 0 50 120 200 230 500 1 600 2 300 5 000

Puissance relative (dB) −1,0 −1,0 −1,0 0,0 0,0 0,0 −3,0 −5,0 −7,0

Soit νmax = fcumax/c le décalage Doppler maximum du canal multi­trajet global. Nous supposons
qu'un seul décalage Doppler est associé au i­ème
chemin de retard et suit le spectre classique de Jakes, c'est­à­dire νi = νmax cos(θi),
où θi est uniformément distribué sur [−π,π]. Le code MATLAB® pour

1Le gain du canal complexe est gi = ai + jbi, où ai et bi sont de moyenne nulle, indépendants et
2
σ2 σ
je
N (0, 2 ).
je

variables aléatoires gaussiennes distribuées de manière identique avec variance 2 , c'est­à­dire ai,bi
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Les références 27

générer les coefficients de canal retard­Doppler pour un UE particulier


la vitesse umax est donnée dans le code MATLAB 6 en annexe C.

2.5.2 Scénario de propagation synthétique

Dans le but d'étudier l'effet des trajets multiples sur les performances d'erreur dans certaines
simulations, nous proposons un modèle de canal simple
avec |L| des chemins de retard distincts, choisis aléatoirement dans l'intervalle [0,τmax],
avec un gain de trajet égal. Chaque indice de retard peut avoir un certain nombre de chemins avec
différents décalages Doppler uniformément répartis dans l'intervalle [−νmax,νmax].
Rappelons que K est l'ensemble contenant les décalages Doppler de tous les trajets avec un
retard normalisé, où L. Le nombre total de trajets P = L |K|.
Notez qu'il est peu probable que ce scénario se retrouve sur un canal physique et
est uniquement utilisé pour étudier les performances du récepteur sous un simple ensemble de
paramètres contrôlés. Voir le code MATLAB 7 dans l'annexe C pour générer le
paramètres de canal synthétique pour le retard arbitraire et l'étalement Doppler.

2.6 Notes bibliographiques

Nous supposons que le lecteur connaît les notions de base des communications numériques
[1–3]. Une compréhension plus basique de l'exposé présenté dans ce chapitre peut être trouvée
dans [4–10]. De plus amples détails concernant le
Des modèles de canaux standard 3GPP sont disponibles dans [11]. Les techniques générales
OFDM pour les communications sans fil ont été présentées dans [12]. La modulation OTFS a été
présentée pour la première fois par Hadani et al. lors de la conférence IEEE sur les communications
et les réseaux sans fil 2017 [13]. Les représentations de canal de
les différents domaines dans différents formats sont discutés dans [14–20].

Les références

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développements et problèmes ouverts, dans : 2006 14e Conférence européenne sur le traitement du signal, 2006,
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[8] F. Hlawatsch, G. Matz, Communications sans fil sur des canaux à variation rapide dans le temps,
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[10] P. Montezuma, F. Silva, R. Dinis, Conception de récepteurs dans le domaine fréquentiel pour canaux doublement
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